On ne peut être plus clair que Nicolas Dupont-Aignan quand il dit "non" il donne ses raisons et les argumente franchement , nous avons vu dans un précédent éditorial certaines réactions de la classe politique française, ce que nous avons remarqué c'est que les politiques de droite qui se sont exprimées plutôt contre une intervention en Syrie l'ont fait avec certaines réserves , détours et prudences d'appréciation, tout au contraire Nicolas Dupont-Aignan ne s’embarrasse pas de considérations partagées, il vise juste et le dit clairement, face au brouillard qui entoure les prétendues présomptions et accusations qui gravissent en escalade contre le Régime de Bachar El Assad , sans preuves pour le moment.
Ci-dessous de source du site "Debout la République " nous reproduisons son communiqué intitulé :
"Non à la guerre en Syrie"
Publié par LFO le Mercredi 28 Août 2013
Les grandes manœuvres militaires des armées occidentales ne
laissent plus aucun doute : l'intervention dans la guerre civile en Syrie est
imminente.
Avec les éléments à notre disposition à l'heure
d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les
Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa
fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces
prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad.
Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une
guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement
menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est
donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs
militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la
France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de
manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne
fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir
l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser
une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques
voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre
pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des
questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves
irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous
avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines
pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les
Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de
milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu
à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et
je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Non à la guerre en Syrie
Publié par LFO le Mercredi 28 Août 2013
Les
grandes manœuvres militaires des armées occidentales ne laissent plus
aucun doute : l'intervention dans la guerre civile en Syrie est
imminente.
Avec les éléments à notre disposition à l'heure d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad. Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Avec les éléments à notre disposition à l'heure d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad. Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Publié par LFO le Mercredi 28 Août 2013
Les
grandes manœuvres militaires des armées occidentales ne laissent plus
aucun doute : l'intervention dans la guerre civile en Syrie est
imminente.
Avec les éléments à notre disposition à l'heure d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad. Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Avec les éléments à notre disposition à l'heure d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad. Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Non à la guerre en Syrie
Publié par LFO le Mercredi 28 Août 2013
Les
grandes manœuvres militaires des armées occidentales ne laissent plus
aucun doute : l'intervention dans la guerre civile en Syrie est
imminente.
Avec les éléments à notre disposition à l'heure d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad. Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Avec les éléments à notre disposition à l'heure d'aujourd'hui, la participation des forces françaises apparait illégitime. Les Américains se donnent aujourd'hui encore moins de mal que Colin Powell et sa fiole d'anthrax à l'ONU en 2003... C'est dire le brouillard qui entoure ces prétendues preuves d'usage d'armes chimique par le régime de Bachar el-Assad. Je refuse de voir nos soldates risquer leur vie et la France s'ingérer dans une guerre civile sans preuve irréfutable présentée à la communauté internationale.
Aujourd'hui la sécurité de la France n'est nullement menacée. La précipitation de François Hollande à vouloir engager nos forces est donc incompréhensible. Depuis deux jours les Américains mènent les préparatifs militaires, le Royaume-Uni occupe le terrain diplomatique ; et que fait la France ? Elle court derrière les États-Unis et le Royaume-Uni sans analyser de manière indépendante et raisonnée la situation.
On peut se demander pourquoi notre boutefeux Président ne fait pas preuve de la même célérité et abnégation quand il s'agit de rétablir l'ordre à Marseille. Il semble plus facile d'envoyer nos soldats faire exploser une poudrière au Moyen-Orient que de mettre hors d'état de nuire quelques voyous sur notre propre territoire.
L'Assemblée nationale ne doit pas attendre le 4 septembre pour se réunir en session extraordinaire. Laurent Fabius doit répondre à des questions urgentes devant la représentation nationale : où sont les preuves irréfutables ? Pourquoi allons-nous porter au pouvoir en Syrie ceux que nous avons combattus au Mali ? Est-ce un renvoi d'ascenseur à certaines pétromonarchies du Golfe ? Comment espère-ton pacifier la Syrie alors que les Américains n'ont même pas réussi à le faire en Irak avec des centaines de milliers d'hommes ?
Aussi longtemps que le pouvoir socialiste n'aura pas répondu à ces questions, ma position restera inflexible : Non à la guerre en Syrie ! Et je ne doute pas qu'elle est partagée par une majorité des Français.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire