Éditorial de lucienne magalie pons
Alain Barrière et Noëlle Cordier
Tu t'en vas mais non mon cœur mais ce n'est rien que quelques semaines
de s'attendre. Tu t'en vas mes joies mes rêves sont pour toi impossible
de t'y méprendre. Tu t'en vas et notre amour nos appartient rien ne
saurait nous le reprendre. Tu t'en vas l'éloignement aide parfois a
mieux s'aimer et se comprendre. Tu t'en vas comme un soleil qui
disparait comme un été comme un dimanche, j'ai peur de l'hiver et du
froid j'ai peur du vide de l'absence. Tu t'en vas et les oiseaux ne
chantent plus le monde n'est qu'indifférence j'ai peur de toi j'ai peur
de moi j'ai peur que vienne le silence. Lai lai lai lai lai... Tu t'en
vas mais non mon cœur mais ce n'est rien, rien qu'un départ sans
importance. Tu t'en vas ce n'est mon cœur tu le sais bien qu'une caprice
de l'existence tu t'en vas le temps L'espace ne sont rien si tu me
gardes la confiance, tu t'en vas chaque matin qui vient tu sais pourtant
tout recommence. Tu t'en vas je reste la seul et perdu comme aux pires
heures de l'enfance. J'ai peur de l'hiver et du froid, j'ai peur du vide
de l'absence. Tu t'en vas soudain pour moi tout s'assombrit. Le monde
n'est qu'incohérence. J'ai peur de toi j'ai peur de moi, j'ai peur que
vienne le silence. Lai lai lai lai lai...
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