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24 décembre 2013

BLAGUE : Pour le Gouvernement Français " le sujet est clos", _ pour les médias algériens le sujet reste ouvert !

Éditorial de lucienne magalie pons

Tel qu'il a été traité par le Gouvernement le sujet qu'il considère clos apparait plutôt comme une dérobade. Ce que nous aurions été en droit d'attendre c'est que le Président de la République interprète lui-même ses propres propos et qu'il nous dise  en toute transparence à qui s'adressait exactement ses propos, à l'Algérie ? à Manuel Valls ? ;; et à quoi il faisait  exactement allusion, faute de l'avoir fait il a  laissé le champs libre aux médias de donner  libre cours à diverses interprétations en rapportant notamment des  rumeurs de coulisses  provenant de différentes sources  propageant  différentes versions pour le moins  différentes et souvent fantaisistes. La transparence que l'on nous promet toujours n'y trouve pas son compte.

Si nous voulions rester en surface, nous nous contenterions  de ce que nous lisons dans les médias  à savoir que Dimanche  le  ministre algérien des Affaires étrangères  Ramtane Lamamra a pris connaissance "avec satisfaction" du communiqué du président François Hollande qui a exprimé ses sincères regrets pour l'interprétation qui a été faite de ses propos sur l'Algérie, d'après ce que son  son porte-parole à l'agence de presse APS.

Nous pouvons lire   notamment " ... le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra a "pris connaissance avec satisfaction du communiqué rendu public par M. Hollande, en particulier les sentiments d'amitié qu'il porte à l'Algérie et le grand respect qu'il a pour son peuple", a déclaré son porte-parole, Amar Belani, en ajoutant  que "l'état et les perspectives du partenariat d'exception entre l'Algérie et la France" seraient "l'objet d'échanges à l'occasion de la communication téléphonique que le président de la République Abdelaziz Bouteflika recevra de son homologue français".

Et hier Lundi on lisait " Le président français François Hollande a téléphoné lundi à son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika,  selon  une source officielle citée par l'agence de presse APS sans préciser la teneur de l'entretien.

Par ailleurs toujours hier Lundi la porte parale du Gouvernement lors de son point de presse à l'issue du Conseil des Ministres, interrogée  par un journaliste sur les propos de François Hollande a répondu notamment  que l'incident était clos en parlant de malentendus. . La vidéo du point de presse publié sur le site officiel Présidence de la République comporte bien une partie de sa réponse, mais un extrait vidéo publié sur Dailymotion comporte la réponse complète qu'il convient de retenir  : 


En nous aidant de la vidéo figurant sur le site de la Présidence de la République et de l'extrait  cité ci-dessus, nous avons reconstitué l'échange complet :




Question du journaliste : Une partie du Weekend a été occupée par une polémique à propos de l’Algérie, comment qualifieriez-vous les propos du Président, est-il dans son rôle lorsqu’il fait de l’humour à propos d’un partenaire à l’étranger ?

Réponse de la porte-parole : D’abord le sujet est clos , je crois vraiment que tout a été dit sur ce sujet, comment est-ce que je qualifierai les propos du Président ?  …, c’est un propos dont a pu constater  qu’il laissait place à des malentendus,  et donc le Président de la République  a tenu à lever ces malentendus, point ! *Ce qui pose un problème dans l’absolu c’est que ces propos sont sortis de leur contexte  pour être instrumentalisés . Je crois que c’est ce qui s’est passé cette fois-ci  et à priori au moment où nous avons constaté qu’une clarification  s’imposait nous l’avons faite  cette clarification et moi je ne peux que regretter à contrario qu’en particulier le responsable de l’UPM joue ce petit jeu de l’instrumentalisation des propos, je crois vraiment  que l’intérêt national est quelque chose de suffisamment important pour éviter de jouer à ce jeu-là. Voilà.

fin de l'extrait 

note : *la partie en caractères gras   ci-dessus ne figure pas  dans la vidéo figurant sur le site officiel.
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suite de notre éditorial : 

 Donc si  nous nous  en  tenions aux communiqués et déclarations du  Gouvernement Français on pourrait s'en tenir là  il s'agit d'interprétation, de malentendus,  et " l'incident est clos", mais il se trouve que nous lisons aussi la presse algérienne et que pour les médias Algériens l'incident est loin d'être clos ,  il reste ouvert, et les tous derniers articles sont d'une tonalité cette fois beaucoup plus politique et analytique que  ceux que nous avions pu lire la semaine passé qui faisait surtout part de l'indignation des personnalités algériennes et de la demande d'excuses des médias,   et pour vous permettre de mesurer la tournure politique que les médias font ressortir, nous ne pouvons mieux faire que de reproduire ci-dessous in extenso quelques articles que nous avons sélectionnés et qui prouvent bien que les médias algériens ne se sont pas laissés berner par la manœuvre qui consistait à faire croire à un interprétation ou à des malentendus.

Pour ma part je considère que les journaliste algériens traitent le sujet avec sérieux et avec une liberté d'expression qui les honorent, on ne peut en dire autant des articles des certains médias français qui le plus souvent se projettent dans l'ironie ou la dérision avec des extrapolations où des suppositions à côté de la plaque, et souvent même avec des connotations parfois humoristiques.

Voici les articles algériens :





La blague Hollande et la facture de Val-de-Grâce

par Kamel Daoud

Bien sûr, c'est le jour des réactions. Après la blague du Président français sur le pays, plusieurs conclusions s'imposent.



D'abord, il semble que la France soit passée du Président canaille au Président idiot. Ce pays slalome désormais entre l'idiotie et le cas du voyou. Au contraire de l'Algérie où on a un président malade et un régime en bonne santé, la France (politique) est un pays malade avec un Président bien portant, rond et souriant.



Ensuite, il y a le naturel : on le chasse et c'est Hollande qui revient au galop. Il exprime, malgré lui, le fond de la vision qu'a la France politique sur une ancienne colonie : malveillante, mauvaise et primaire. Il y a la France et il y a la barbarie. Dans la barbarie on va prendre les figues et l'argent, mais c'est au CRIF qu'on se détend entre amis.



Ensuite, il y a la réaction algérienne. Le réalisme, le pragmatisme, l'enjeu des contrats, la proximité et les capitaux, empêchent que l'on réponde à la blague par la sévérité. Le réel impose sa mesure et oblige de baisser le drapeau et le pantalon. L'Algérie est faible et dépend encore plus de la France après l'indépendance qu'avant. Le pragmatisme est une loi et l'hymne n'est qu'un poème. La réaction officielle, si une nuit a été vigoureuse, elle a opté pour la pondération le lendemain de la cellule de crise. C'est selon les moyens. Selon Georges Washington, un sac vide ne tient pas debout ; un sac à moitié vide tient à moitié debout donc. On a beau s'indigner de Lamamra, il n'est que l'expression du bras sans os qui nous gouverne.



De notre économie faible, de notre idéologie de fatwas, de nos manques de compétences, de nos errances. A pays faible, réaction molle.



Ensuite ? Ensuite que peut (variation sur un proverbe connu) le malade entre les mains du laveur de cadavres ? Par son choix de se faire hospitaliser en France, l'actuel président nous a affaiblis, a transformé le coup d'éventail en cou de mouton tendu. On dépend d'un homme qui dépend d'un dossier médical qui dépend de la France.



Aujourd'hui que l'on se fait insulter, on ne peut officiellement que grimacer. L'épisode Val-de-Grâce est notre défaite qui va durer et notre talon d'Achille. Le Français Hollande peut aujourd'hui se permettre la plaisanterie qui était impossible avec Chadli qui s'est fait hospitaliser en Belgique, ou avec Zeroual malade en Suisse ou Boumediene en URSS. On paye un choix. Et à la fin ? Cela fait mal mais c'est aussi l'expression du piège de l'hyper nationalisme de propagande. On a gonflé ce peuple à l'hélium quand il s'agit du Maroc, comme disent les internautes, ou pour attaquer des opposants internes traités de harkis ; aujourd'hui, l'émotion veut la même dose de bravade. A assumer donc ce peuple que l'on a nourri à la bataille d'Alger sans fin. Après la balle de novembre, le plouf de décembre. C'est ainsi. Avant de demander à Lamamra de dire mieux, il faut un pays qui fait mieux et un président en bonne santé.



Merci pour la compote !

Par Meriem Sassi – Les Français ont-ils réellement l’intention de considérer un jour l’Algérie autrement que comme un immense marché sur le pas de l’Europe ? La réponse aurait pu être optimiste, il y a encore quelques heures, lorsque tous les projecteurs étaient braqués sur la grande messe économique organisée à Alger à grand renfort de propagande et d’effets d’annonces, en faveur de la «ferme volonté» de la France d’investir en Algérie. Depuis le départ d’Ayrault, de ses ministres et de la centaine de patrons qui l’accompagnaient, après une virée sous le soleil d’Alger, le doute n’est malheureusement plus permis. Le constat est sans appel et ne souffre aucun doute. En guise de contrats productifs et de transfert technologique, le Medef, l’organisation patronale française, n’a laissé sur la table soigneusement préparée à Alger en son honneur qu’une poignée de protocoles insignifiants sans aucune échéance précise, pour la fabrication de… compotes et de joints de chaussée. Dans le discours politique, pourtant, la barre a été mise très haut et la réunion du Comité intergouvernemental de haut niveau activement préparée, en vue d’un partenariat économique «gagnant-gagnant» devant être amorcé par la signature de contrats importants. Un matraquage médiatique a été savamment orchestré – à Alger plus qu’à Paris, d’ailleurs –, sans vraiment masquer la réalité. Les amabilités et les mondanités protocolaires ont peut-être décrispé les relations politiques et occulté pour un temps les exigences mémorielles, mais elles n’auront absolument rien apporté sur le plan économique. Un maigre bilan qui ne manquera pas de profiter à d’autres partenaires autrement plus engagés aux côtés de l’Algérie. La percée de la Chine en est le meilleur exemple.






La raison (d’Etat) l’emporte

Par Rafik Benasseur | 23/12/2013 | 14:55

En vingt quatre heures seulement les relations algéro-françaises, (ou franco-algériennes c’est selon) sont passées de l’inimité radicale à celle d’un couple qui file le parfait amour, ou presque. Ceci par la magie d’une phrase malheureuse du président François Hollande qui a eu l’indélicatesse de s’être moqué de l’Algérie et des algériens qui plus est, devant une assemblée pas très amène avec notre pays.

Bien que cette phrase assassine de Hollande a été débusquée par des internautes algériens, trois jours plus tard, la levée de bouclier et le tollé ont été à la mesure de l’injure. Les algériens se sont logiquement sentis insultés et blessés dans leur amour propre par le président de l’ancienne puissance coloniale avec tout ce que cela charrie comme arrière pensées.

Pis encore, cette insulte, parce qu’il faut bien l’appeler ainsi n’en déplaise à «l’interprétation infondée» évoquée par l’Elysée, est intervenue au moment où le Premier ministre français Jean Marc Ayrault se remplissait les poches à Alger à coup de contrats importants pour les entreprises du CAC 40.

C’est là un facteur qui aura aggravé le cas du président Hollande, conformément à l’adage populaire bien de chez nous selon lequel on ne crache pas dans la soupe ou que l’on ne mord pas la main qui donne.

Cracher dans la soupe

Et au-delà de ce pragmatisme très «économique», le président français a commis une bévue monumentale lui qui connaît assez bien la sensibilité à fleur de peau des algériens. Pourquoi s’est-il laissé aller à des commentaires outrageants, polémiques et franchement dégradants contre l’Algérie et les algériens ? C’est celle là la vraie question de cet «acte manqué» de François Hollande.

Les citoyens algériens, les moudjahiddines, des partis politiques, et bien sûr le ministre des affaires étrangères étaient dans leur bon droit de dénoncer cette inélégance et cette arrogance gratuite du président français. Cela fait d’autant plus mal que ce même président a eu droit à un long tapis rouge il y a tout juste une année et à des bains de foule à Alger et Tlemcen.

Quelle mouche a donc piqué Hollande pour qu’il jette ainsi l’anathème sur un pays qui l’a accueilli à bras ouverts et qui lui a permis d’oublier un peu ses soucis politiques chez lui ? Difficile de saisir les tenants et les aboutissants d’une telle «plaisanterie» de mauvais goût.

Un problème de cuisine interne?

Faut-il alors prendre pour argent comptant le communiqué de l’Elysée selon lequel ce serait juste une «interprétation infondée» ? Ce serait prendre les algériens pour ce qu’ils ne sont pas y compris le ministre des affaires étrangères qui a pointé à juste titre «l’inélégance» et le manque du «sens de la mesure» du président Hollande.

Sinon quelle est donc la vraie interprétation de la petite phrase de Hollande ? Certains en France affirment qu’elle relève exclusivement de la cuisine interne en ce sens que Manuel Valls, le chouchou du CRIF, ne supporterait pas la compagnie de son Premier ministre Jean Marc Ayrault.

Ainsi, en disant que «c’est déjà beaucoup» que Valls «revienne sain et sauf» d’Alger, Hollande faisait allusion à son inimitié avec Ayrault. Mais si tel est l’interprétation réelle de la phrase, il est pour le moins impossible pour les algériens de la décrypter ainsi. Il aurait fallu que l’Elysée rectifie aussitôt le tir avant que la balle n’atteigne par erreur (?) les algériens.

Le MAE algérien a-t-il été mis dans la confidence pour avoir déclaré sa finalement sa «satisfaction»? Possible. Auquel cas cette raison d’Etat mal assumée en France aura provoqué de graves dommages collatéraux en Algérie. Et le président Hollande aura péché par son amateurisme pour le coup anormal pour un chef d’Etat.

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 Source : Algérie 1.com

Enrico Macias, furieux contre François Hollande

Par Lila Ghali | 23/12/2013 | 21:31


Le chanteur Enrico Macias, a réagi hier soir aux propos désobligeants du président français François Hollande, en déclarant au micro de la radio Europe1 que “c’est très maladroit de la part du président de la République de faire des plaisanteries de ce genre parce que ça sous-entend beaucoup de choses », s’est insurgé le natif de Constantine

Selon Enrico Macias, cette boutade maladroite entretient des clichés erronés sur le peuple algérien, qui ne sont certainement pas dignes d’être véhiculés par le premier représentant de la France. « Ça veut dire que les Algériens sont des criminels, des assassins, des choses comme ça, a-t-il souligné. Ce genre de plaisanteries n’est pas du niveau d’un président de la République. » Ni d’un humoriste d’ailleurs…

Pour rappel, les propos insultants de François Hollande ont été regrettés dans un communiqué de l’Élysée où il a d’ailleurs présenté “ses sincères regrets pour l’interprétation qui est faite de ses propos” et promettant qu’il allait appeler le président Abdelaziz Bouteflika.

Le texte de l’Élysée précise encore: “Chacun connaît les sentiments d’amitié que François Hollande porte à l’Algérie et le grand respect qu’il a pour son peuple, comme l’ont prouvé la visite d’État qu’il a effectuée en décembre dernier et les discours qu’il a prononcés”.

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Par Mourad Arbani



Le Président français François Hollande a prononcé un discours, lors d’une réception organisée au palais de l’Elysée à l’occasion de la célébration de l’anniversaire des 70 ans du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), au cours duquel il s’est moqué délibérément de l’Algérie et des algériens ce qui, bien évidemment, a fait rire les présents dans la salle.

Évoquant le voyage de son ministre de l’intérieur, Manuel Valls en Algérie, Hollande a déclaré dès les premières secondes de son discours, sourire aux lèvres, que son Ministre de l’Intérieur était de retour “sain et sauf” d’Algérie, avant d’ajouter “c’est déjà beaucoup !”.

Cette plaisanterie, de très mauvais goût, relève d’un manque de respect, voire de l’insulte, à l’égard de l’Algérie et de son peuple.

Revenir d’Algérie “saint et sauf”, ces propos sortis de la bouche d’un président de la république donnent de l’Algérie une image d’un pays violent et très dangereux. Ils se situent exactement dans la déclinaison des clichés habituels hérités de l’histoire coloniale, les algériens sont primitifs, ils sont sauvages, tueurs, violeurs, coupeurs de routes…




Boutade sur l'Algérie : Hollande «regrette» et parlera à Bouteflika

par Moncef Wafi



Réagissant hier après-midi, la présidence française a qualifié de «polémique sans fondement» les critiques en France et en Algérie après l'incident diplomatique créé par les propos de Hollande.



Le président français en parlera à Bouteflika, indique la même source. Hollande «exprime ses sincères regrets pour l'interprétation qui est faite de ses propos», a ajouté l'Elysée dans un communiqué. «Chacun connaît les sentiments d'amitié que François Hollande porte à l'Algérie et le grand respect qu'il a pour son peuple, comme l'ont prouvé la visite d'Etat qu'il a effectuée en décembre dernier et les discours qu'il a prononcés», ajoute l'Elysée dans son communiqué.



Lors d'une rencontre officielle du Conseil représentatif des institutions juives de France, le fameux CRIF, visiblement peu au courant de l'agenda de son gouvernement, et évoquant un futur voyage de son ministre de l'Intérieur Manuel Valls, en Algérie, François Hollande, visiblement un peu trop euphorique, selon le tweet de Jean-Luc Mélanchon, « l'ivresse communautariste du dîner a grisé Hollande, mais c'est nous qui avons la nausée », a souhaité bon voyage à son ministre avant de se faire reprendre par ce dernier qui lui expliquait, à l'oreille, qu'il revient justement d'Algérie. Le président français ne trouvera pas comme répondant que de se réfugier derrière un humour douteux, selon les Algériens, en le félicitant de son retour « sain et sauf ». Si pour la classe politique algérienne, et pour le reste de l’Algérie, ces propos qui renvoient à une époque révolue de l’histoire toute récente du pays n’est pas passée, en France, l’opposition n’a pas mis de gants pour condamner ce dérapage verbal surtout  après la visite du Premier ministre français Jean- Marc Ayrault à la recherche de nouveaux marchés pour les entreprises hexagonales. Jean-François Copé, le président de l’UMP, regrette lui « le dernier dérapage verbal du président de la République » expliquant que « l’exigence de la fonction présidentielle n’autorise pas une formule aussi déplacée ».

Commentant cet épisode, et tout en étant certain du caractère des déclarations présidentielles, il dira « qu'il s'agit d'une moins-value par rapport à l'esprit qui enveloppe nos relations et à la réalité de ce que les délégations françaises, et même autres, peuvent constater de la situation sécuritaire en Algérie ». De l'intérieur, les critiques les plus vives ont fusé de la part de la presse algérienne et des partis politiques. Le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), Farouk Ksentini, a appelé M. Hollande à présenter des excuses pour ses propos « provocateurs » à l'encontre de l'Algérie alors que le Rassemblement national démocratique (RND) a estimé, hier, que ces mêmes propos « dénotent la haine vouée par les Français aux Algériens ». La porte-parole du RND, Mme Nouara Saadia Djaafar, a qualifié cette plaisanterie d'un retour « au point de départ.



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REVUE DE PRESSE


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Libération
 - ‎Il y a 6 heures ‎




Le président français François Hollande a téléphoné lundi à son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika, a annoncé une source officielle citée par l'agence de  presse APS sans préciser la teneur de l'entretien. François Hollande avait exprimé dimanche …



Éditorial :Auteur, spécialiste de l'AlgérieLe Nouvel Observateur

Articles de fond :Ces blagues de Hollande qui ont fait flopFrancetv info





 

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