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03 avril 2014

Nicolas Dupont Aignan prépare activement les Européennes

Éditorial de lucienne magalie pons


 

Après le séisme des municipales, le tremblement de terre annoncé des Européennes par Nicolas Dupont-Aignan

Publié: 1 avril 2014 dans 2 - Communiqué
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ImageLes élections municipales viennent de s’achever. Je tiens à féliciter les 132 listes DLR qui se sont présentées à ce scrutin, tous les maires parrains ainsi que tous nos élus et militants qui se sont engagés dans ce combat de proximité.


Pour ma part, je ne peux que remercier les Yerrois qui m’ont témoigné dès le 1er tour et pour un quatrième mandat, leur confiance à plus de 77% ! Une preuve supplémentaire que la politique, dès lors qu’elle respecte les citoyens, conserve tout son rôle de premier acteur de l’intérêt général.

Après un 1er tour qui était un avertissement grave pour le Gouvernement, le second tour est un vote sanction très lourd pour la gauche au pouvoir. Ce vote vient sanctionner deux années durant lesquelles François Hollande et ses alliés ont mené une politique qui n’a apporté que chômage, insécurité, matraquage fiscal et division des Français.

Ils en payent aujourd’hui le prix avec la perte de bastions symboliques tels que Limoges, Quimper, Dunkerque ou Angers. Ces villes ne sont que la face visible de l’iceberg d’une déroute socialiste qui a touché tous les territoires, toutes les villes et toutes les catégories sociales.

Pour autant, l’UMP ferait bien de ne pas se réjouir trop vite de ces résultats car elle n’a pas gagné : c’est la gauche qui a perdu. L’UMP ne dispose pas d’un chèque en blanc car le malaise national, traduit par une abstention record, a une cause beaucoup plus profonde : la soumission à Bruxelles !

Depuis plus de vingt ans (et les municipales 2014 ne font pas exception) les vraies fausses alternances se conjuguent systématiquement avec d’authentiques victoires par défaut car nos concitoyens rejettent cette classe politique et ce système à bout de souffle. Si la droite veut incarner un nouvel espoir, elle doit rompre avec son impasse européenne pour redonner toute sa force à la France.

Le remaniement de façade avec la nomination de Manuel Valls au poste de Premier ministre ou la fausse vague bleue n’y changeront rien : après ce séisme des municipales, les élections européennes sont le rendez-vous attendu par les Français pour faire bouger les lignes. Plus que jamais, Debout la République entame ces élections avec la conviction que les Français doivent prendre le risque de rompre avec l’échec et les fausses alternatives.

L’UMP, qui soutient Jean-Claude Juncker, ancien Premier ministre du Luxembourg, paradis fiscal au cÅ“ur de l’Europe et fédéraliste convaincu, et le PS, qui s’est rangé derrière Martin Schulz, socialiste allemand qui prône l’austérité la plus drastique qui a mené notre continent à la ruine, sont coupables de cette Europe qu’ils ont imposée aux Français contre leur gré. Nos concitoyens ont désormais compris que, derrière les slogans, il n’y avait rien à attendre d’eux.

Debout la République est en ordre de marche pour le troisième tour électoral de 2014 !

Nos candidats parcourent le terrain à la rencontre des Français.

Nous vous attendons nombreux pour notre grand meeting de lancement de campagne le dimanche 13 avril à Paris avec comme invité spécial, Nigel Farage, leader d’UKIP en Grande-Bretagne.

La campagne des Européennes est lancée et nous avons besoin de vous : nos listes « Debout la France ! Ni système, ni extrêmes » défendront une voix libre pour une Europe gaulliste des Nations et des projets.

Engagez-vous, c’est maintenant que le combat commence  !

Nicolas Dupont-Aignan

Président de Debout la République











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