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17 septembre 2014

Ce matin Emmanuel Macron était l'invité de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1

Éditorial de lucienne magalie pons

Emmanuel Macron : "la France est malade"oo



D'après Emmanuel Macron , nouvelle personnalité recrue  récemment  en qualité de Ministre de l'économie, de l'Industrie et du Numérique dans le gouvernement Valls 2,  la France est malade.

Tout d'abord  pour dénoncer, le climat autour du Président il a commencé par diagnostiquer   que " la France était  malade".



  'Ce climat dont vous parlez, d'où vient-il? ,  questionne Elkabbach

Dans sa réponse Emmanuel Macron  développe son dignostic : "D'abord parce que la France est malade. Elle n'est pas bien. Il faut nommer la situation dans laquelle on vit. Il y a une fièvre depuis quelques années dans ce pays qui s'appelle le chômage de masse, on arrive pas encore à le régler. On s'y attelle mais ce pays souffre. 

Pour répondre  aux questions concernant l'avenir économique de la France,  Emmanuel Macron  a répété qu'il n'y avait "pas d'autres choix" que de poursuivre la politique proposée par François Hollande et Manuel Valls …"

Si c'est là le remède qu'il préconise , il a déjà été administré et n'a donné d'autre résultat que d'aggraver la maladie ! passons ...
 

Le Ministre Emmanuel Macron a ajouté  au cours de l’entretien « Moi je pense que le problème de la France, c'est d'abord elle-même. Donc, on ne sera plus grand, plus fort que si on règle nos problèmes. Et pour ça il faut un peu de concorde, un peu de calme, un peu de conciliation. »

Interrogé  aussi  sur la politique à suivre et sur son action à la tête du ministère de l'Économie, Emmanuel Macron a tenu un discours plutôt  décevant, pour ce Ministre «  Il n'y pas le choix. Si on ne bouge pas, on échouera……..On n'a pas d'autre choix que de faire cette série de petites réformes. Je voudrais lever une ambiguïté. Il n'y a pas une grande réforme qu'il faudrait faire dans ce pays et qui va tout résoudre. Il n'y en a pas. Il y a une série de petites réformes, de petits déblocages qu'il faut conduire pour les aider au quotidien.

C’est la première fois que l’on entend un Ministre en exercice  dire «  On n'a pas d'autre choix que de faire cette série de petites réformes » . d’insister en ajoutant : « Je voudrais lever une ambiguïté. Il n'y a pas une grande réforme qu'il faudrait faire dans ce pays et qui va tout résoudre. Il n'y en a pas. … »
Jusqu’à présent   le Chef du Gouvernement, les Ministres et souvent le Chef d’Etat parlent de « Grandes Réformes » , il n’y a que l’opposition de droite qui  souvent dénonce  des petites réformes, plus exactement des « réformettes » !

oo0oo


 mon commentaire :  à mon sens la France pourrait se porter mieux  si le gouvernement socialiste et sa majorité se portaient bien, et s'ils mettaient tous leurs efforts au service de la France pour la redresser, au lieu de passer 90 % pratiquement de leur temps  à régler leur divisions interne,   tous les signes politiques indiquent qu'ils  sont infectés par leur divisions internes,  le vote de confiance au gouvernement  très  étriqué que le Premier Ministre a obtenu hier devant l’Assemblée Nationale  en est un des exemples le plus significatifs.

En visualisant et en écoutant  ses propos, son diagnostic  et ses réponses , on fera vite le tour de l'insignifiance de ses propositions calquées  sur les discours de l'exécutif , pour le moment, on se demande la raison profonde qui l'a animé en acceptant ce poste de Ministre" répétiteur", à moins qu'il n'ait accepté ce poste comme nous le pensons, en position  stratégique d'attente, bien en place  au cœur de l'exécutif,  pour en devenir le Chef, en cas de  démission   du Gouvernement Valls 2, -  démission  pronostiquée  comme inévitable par l'opposition politique de droite)


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