Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

Translate

18 septembre 2014

REVUE DE PRESSE EUROPEENNE DU 17 SEPTEMBRE 2014 2014

 Editorial de Lucienne Magalie Pons


Pour information, un regard sur les médias européens ,
de source :


 euro|topics Linie
Revue de presse européenne du 17/09/2014
À LA UNE



Signature de l'accord d'association entre l'UE et l'Ukraine
Les Parlements européen et ukrainien ont ratifié mardi un accord d'association, dont le volet économique a été provisoirement mis en suspens d'ici fin 2015. Les députés de Kiev ont par ailleurs adopté une loi accordant davantage d'autonomie à l'Ukraine orientale. Les commentateurs critiquent les concessions faites à la Russie et aux séparatistes et selon eux, la voie de l'Ukraine vers l'Ouest est encore semée de nombreux obstacles.


Der Standard - Autriche
L'UE doit à présent encourager la démocratisation
Par la ratification de l'accord d'association avec l'Ukraine, l'Europe s'engage à amener un changement en Ukraine, écrit l'historien Timothy Garton Ash dans le quotidien de centre-gauche Der Standard : "Au lendemain de la signature de l'accord d'association avec l'Ukraine, l'UE doit à présent aider cette dernière à devenir un Etat un tant soit peu opérationnel. Concernant la population russophone, le levier d'action le plus efficace pour l'UE serait d'introduire la libre circulation des personnes pour la plupart des Ukrainiens. En réaction à des stimuli aussi puissants, les Ukrainiens devraient s'atteler sérieusement à la tâche de réformer leur propre Etat. En tout premier lieu, il faut combattre la corruption galopante, qui est devenue le moteur de la politique dans l'Ukraine post-soviétique. Depuis l'indépendance, les politiques ukrainiens ont toujours été leurs propres ennemis. … Voilà ce qui doit changer." (17.09.2014)
» article intégral (lien externe, allemand)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Voisinage de l'UE, » Ukraine, » Europe orientale
Tous les textes disponibles de » Timothy Garton Ash

Il Sole 24 Ore - Italie
L'exercice délicat de Porochenko
Le président ukrainien tente de contenter à la fois Bruxelles, Moscou et les rebelles, mais il est peu probable qu'il y parvienne, juge le journal économique libéral Il Sole 24 Ore : "Il aura besoin de beaucoup de réussite pour que son pays, qui se trouve toujours en guerre, le suive. … Car la suspension provisoire du volet économique de l'accord d'association est une concession faite à Moscou, perçue comme une trahison par les nationalistes ukrainiens. … La 'loi sur le statut spécial' des régions séparatistes, adoptée hier à huis clos par le Parlement ukrainien, est une concession faite aux rebelles. … Or cette loi ne satisfait ni les séparatistes, qui aspirent à l'indépendance, ni les nationalistes ukrainiens - à l'extrême opposé du spectre - qui la considèrent comme une capitulation. Voilà les récifs que Porochenko devra tenter de contourner." (17.09.2014)

Dienas Bizness - Lettonie
L'Ukraine n'est pas prête pour le libre-échange
La véritable raison du report à 2016 de la mise en œuvre de l'accord de libre-échange n'est pas le conflit sanglant en Ukraine orientale, mais l'immaturité économique du pays, estime le journal économique Dienas bizness : "Ce n'est pas la guerre en Ukraine mais le facteur humain qui est à l'origine de cette temporisation des réformes économiques. La corruption et le détournement de capitaux alloués par les fonds internationaux, entre autres malversations, empêchent l'Etat de devenir réellement européen. Les Ukrainiens ont eux-mêmes ouvertement déclaré que leurs entreprises n'étaient pas prêtes à tout ce que l'Europe leur promet dans le cadre de l'accord de libre-échange. Bref, les avantages du libre marché européen présentent encore trop peu d'attraits pour les Ukrainiens." (17.09.2014)

Zeit Online - Allemagne
Kiev conforte la mainmise de Poutine
La loi accordant un statut spécial à l'Ukraine orientale est la concession que le président russe Vladimir Poutine voulait obtenir, commente le portail d'information libéral Zeit Online : "Kiev cède de facto aux séparatistes le contrôle durable des régions que ceux-ci ont conquises. Des élections locales y sont prévues en fin d'année - comme si l'on pouvait s'attendre à un scrutin pacifique et équitable, c'est-à-dire sans ingérence russe. Le texte prévoit même la possibilité pour les régions de créer leur propre milice populaire, comme si ce n'était pas un simple changement d'étiquette fallacieux visant à ennoblir les hommes de main du Kremlin, érigés en défenseurs du peuple. Poutine réussit ainsi à imposer sa volonté au destin de l'Ukraine. Il veut faire barrage à toute orientation vers l'Ouest de la politique et de l'économie du pays, et ne veut relâcher l'emprise qu'il a sur lui. Il ne faut pas être devin pour le comprendre." (16.09.2014)

POLITIQUE
Linie

The Guardian - Royaume-Uni
Pour une Grande-Bretagne plus fédéraliste
Le débat britannique autour du référendum sur l'indépendance de l'Ecosse de jeudi doit mener à une fédéralisation du pays à tous les niveaux, réclame la chroniqueuse Shirley Williams dans le quotidien de centre-gauche The Guardian : "Le débat sur le référendum n'est pas seulement alimenté par le litige entre les unionistes et les nationalistes [écossais]. Il reflète également la colère et le ressentiment de certains pans de l'opinion publique anglaise et galloise. … Ces sentiments nécessitent une réponse radicale, laquelle ne doit pas se limiter à transférer davantage de compétences à Edimbourg, Cardiff et Belfast en matière d'impôts et de dépenses publiques. Il faudra également afficher la volonté, pour chaque pays, de déléguer des pouvoirs aux grandes villes et aux collectivités territoriales. Bref, partir du principe que les décisions doivent être prises par ceux qui sont directement affectés par elles." (16.09.2014)

De Morgen - Belgique
Les bombes n'arrêteront pas la barbarie de l'EI
Dans le concert de louanges adressé à la coalition de 30 Etats contre les djihadistes de l'EI, les questions critiques sont indésirables, observe le quotidien de centre-gauche De Morgen : "Ne peut-on pas trouver hypocrite que la communauté internationale ait refusé pendant des années d'entreprendre quoi que ce soit pour empêcher la guerre en Syrie et la mort de milliers de personnes ? Aujourd'hui, alors que toute la région a sombré dans la folie, on décide enfin d'intervenir, après la décapitation de citoyens occidentaux. … On peut se demander si l'intention de viser d'abord les dirigeants de l'EI est une stratégie judicieuse. Car force est de constater que l'attaque réussie contre Oussama Ben Laden n'a pas éradiqué le terrorisme islamiste. Au contraire. On croit que l'on pourra contenir la barbarie avec plus de répression, plus d'armes et plus de bombardements. Une conception qui pourrait se solder par une cruelle désillusion." (17.09.2014)
» article intégral (lien externe, néerlandais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Crises / Guerres, » Proche et Moyen Orient, » Iraq
Tous les textes disponibles de » Yves Desmet
Suivre les débats » Les islamistes à la conquête du Proche-Orient

L'Opinion - France
Les louvoiements de Manuel Valls
Le Premier ministre français Manuel Valls a obtenu mardi la confiance de l'Assemblée nationale à une courte majorité. Or sa déclaration de politique générale illustre une fois de plus l'orientation hasardeuse du gouvernement, critique le journal économique libéral L'Opinion : "A l'hymne à la politique de l'offre succède ainsi une ode démagogique à l'Etat et à notre modèle social, pourtant en faillite. Au rappel strict du respect de nos engagements européens se substitue un appel usé à un 'dialogue exigeant avec l'Allemagne'. On comprend cette métamorphose : Manuel Valls ne s'adressait plus aux Français, mais aux frondeurs, actant en creux la paralysie accrue de l'exécutif faute d'assise politique. Sans résultat sur la croissance et le chômage, voilà un chef du gouvernement désormais sur la défensive, obligé d'en rabattre, d'invoquer - signe d'un proche immobilisme ? - le 'ni-ni' (ni impôts, ni économies supplémentaires). Bref, contraint de tenir plutôt que d'avancer." (16.09.2014)
» article intégral (lien externe, français)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Budget, » Politique Economique, » Conjoncture, » Allemagne, » France, » Europe
Tous les textes disponibles de » Rémi Godeau

Gazeta Wyborcza - Pologne
Un nouveau tandem à la tête de la Pologne
En Pologne, la nouvelle Première ministre Ewa Kopacz présentera vendredi son équipe gouvernementale. Suite au départ de Donald Tusk à Bruxelles, le président Bronisław Komorowski l'a officiellement nommée à cette fonction lundi. La nouvelle Première ministre et le chef de l'Etat doivent désormais accorder leurs violons, analyse le quotidien libéral Gazeta Wyborcza : "Ceci pourrait être plus qu'un gouvernement de transition, car Kopacz a des chances tout à fait réalistes de remporter les législatives de 2015. Elle pourrait ainsi former un tandem durable avec le président. On a souvent dit de Komorowski qu'il n'était devenu président qu'en vertu de la volonté de Tusk. A présent, le nouveau tandem Kopacz-Komorowski doit impérativement coordonner son action. Car une éventuelle réussite de Kopacz augmente les chances de Komorowski d'être réélu en 2015. Inversement, si le président devait être confirmé à son poste, ceci augmenterait les chances de Kopacz de réussir sa mission au pouvoir." (17.09.2014)
» page d'accueil (Gazeta Wyborcza)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Pologne
Tous les textes disponibles de » Paweł Wroński

RÉFLEXIONS
Linie

Slate - France
Jacques Attali appelle à ne pas humilier la Russie
L'Ouest doit éviter d'humilier la Russie s'il veut éviter d'en faire un ennemi permanent, prévient l'essayiste Jacques Attali sur le site Slate : "Dans les relations entre les gens, comme entre les nations, l'humiliation peut conduire à des actes insensés, à des guerres inextinguibles. Il est donc essentiel de ne pas humilier les autres, de les respecter ; et, si l'humiliation a eu lieu, si le contact est rompu, de le renouer, au moins aussi longtemps que l'humilié est encore accessible au dialogue et qu'il n'est pas devenu un ennemi irréductible, que seule la force peut empêcher de nuire. ... Il est urgent que l'Occident adopte avec les arabes, les Turcs et les Russes la même attitude qu'avec l'Allemagne en 1945 : les considérer, ne rompre aucun contact avec eux, les maintenir dans les cercles du pouvoir, leur proposer des projets communs. Et en particulier, avec les Russes, interrompre un boycott qui ne nuit qu'à l'Europe ; et les associer à l'effort de guerre contre un islam radical qu'ils affrontent tous les jours dans le Caucase." (16.09.2014)

Novosti - Croatie
Les véritables objectifs des USA en Ukraine, par Boris Rašeta
Les Etats-Unis continuent de mener en Ukraine une politique internationale hypocrite et sans retenue, critique le chroniqueur Boris Rašeta dans l'hebdomadaire de gauche de la minorité serbe Novosti : "L'objectif de toute ces opérations à l'Est n'est pas la démocratisation, mais un encerclement stratégique, puis la 'yougoslavisation' de la Russie. Nous avons pu voir ce qui s'est produit chez nous après le dépeçage de notre Etat commun : les entreprises occidentales nous ont pris tout ce qui avait de la valeur, elles ont détruit les industries susceptibles de leur faire concurrence et ont laissé derrière elles toute une région au niveau de développement du siècle dernier. Une région petite et pauvre comparée à l'immense et riche Russie. Voilà quel serait le sort de la Russie : une série de petites guerres ethniques, d'interminables processus de partition, une guerre civile généralisée. Comme dans le monde arabe, où l'Amérique a détruit la Libye et l'Irak. … La tentative de renverser Bachar Al-Assad a généré la naissance de l'EI, tandis que le renversement Mouammar Kadhafi et Saddam Hussein a balkanisé la région. Quel serait le résultat de la chute de Poutine ?" (15.09.2014)

ÉCONOMIE
Linie

The Irish Times - Irlande
Malgré la reprise, l'Irlande doit maintenir l'austérité
L'Irlande a nettement revu à la hausse ses prévisions de croissance pour l'année en cours. Selon son ministre des Finances Michael Noonan, le pays table sur une croissance positive de trois pour cent. De plus en plus de politiques et de commentateurs appellent le gouvernement à assouplir sa rigoureuse politique d'austérité l'an prochain. Ce ne serait que répéter les erreurs du passé, met en garde l'économiste John O'Hagan dans le quotidien de centre-gauche The Irish Times : "Que les gens sont amnésiques, même lorsqu'il s'agit d'un passé très récent... C'est le véritable danger de l'Irlande dans les années à venir. Nous avons encore une énorme dette publique et nous sommes obligés d'emprunter pour pouvoir financer nos dépenses quotidiennes. Et pourtant, avant-même la présentation du budget 2015 [dans quatre semaines], certains commentaires prônent des largesses déraisonnables. Il devrait être acquis qu'il ne faut pas répéter les erreurs des années 1980 et d'un passé encore plus récent." (16.09.2014)
» article intégral (lien externe, anglais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Economie, » Conjoncture, » Dette publique, » Crise de l’euro, » Irlande
Tous les textes disponibles de » John O'Hagan

Jornal de Negócios - Portugal
Ne pas brader Novo Banco trop hâtivement
Six semaines seulement après sa création, la banque portugaise Novo banco change de direction. Les médias évoquent des désaccords entre le trio à la tête de la "good bank" issue de l'établissement en faillite Banco Espirito Santo, et la Banque centrale, cette dernière voulant vendre immédiatement. Un peu plus de circonspection est de mise, estime le quotidien économique libéral Jornal de Negócios : "Il est compréhensible que la banque doive être vendue le plus rapidement possible. Chaque jour qui passe, elle perd de sa valeur, augmentant le risque pour les contribuables de devoir endosser un jour au moins une partie de la facture. Cette urgence ne justifie cependant nullement l'adoption d'un modèle qui risque d'entraîner une perte de valeur supérieure encore. Vendre progressivement les actifs de la banque réduit non seulement les entrées potentielles, mais se double de conséquences négatives supplémentaires. … Les collaborateurs, les clients, voire peut-être le contribuable en feront les frais, tandis que les actionnaires de la banque en profiteront." (17.09.2014)
» informations complémentaires (lien externe, portugais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Banques, » Institutions européennes, » Portugal, » Europe
Tous les textes disponibles de » Nuno Carregueiro

SOCIÉTÉ
Linie

Expansión - Espagne
Mieux vaut ne pas divulguer l'algorithme de Google
Le groupe Internet américain Google est tenu de communiquer l'algorithme sur lequel est basé son moteur de recherche afin de déterminer si l'entreprise avantage ou non ses propres produits. C'est la requête présentée lundi par le ministre allemand de la Justice, Heiko Maas, dans un entretien accordé au journal britannique Financial Times. Mais une trop grande transparence nuirait à la qualité des résultats de recherche, affirme le journal économique conservateur Expansión : "La crainte évoquée par Berlin est justifiée. Il ne faut pas oublier en effet que l'activité liée aux moteurs de recherche est dominée à 90 pour cent par Google au sein de l'UE, et que l'entreprise est en train de négocier avec la Commission européenne le règlement de sanctions de plusieurs millions pour différents types d'abus. Du point de vue de l'instance de supervision, cette requête est justifiée. Sans connaître le fonctionnement du moteur de recherche, on ne peut juger de la neutralité des résultats affichés. Il serait en revanche contre-productif de réclamer une transparence excessive. Plus la 'formule Google' sera transparente, plus il sera facile pour des tiers de manipuler les résultats de recherche, ce qui entraînerait une dégradation du service." (17.09.2014)
» page d'accueil (Expansión)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Entreprises, » Consommation, » Justice, » Europe, » USA

Ziare - Roumanie
Les manuels scolaires numériques, une lubie de Ponta
Pour la rentrée scolaire du 15 septembre, le Premier ministre roumain Victor Ponta a vanté les mérites des manuels numériques, déclarant qu'à notre époque, tous les enfants savent se servir d'un ordinateur et possèdent un smartphone avec une connexion Internet. Ces propos sont un affront pour beaucoup de Roumains, commente le portail Ziare : "Combien d'écoles de village délabrées, sans la moindre prise d'électricité et pourvues de simples latrines, le Premier ministre a-t-il visitées ? Pas beaucoup apparemment. Il donne sa bénédiction aux belles écoles où l'argent ne manque pas. Ses enfants fréquentent probablement des écoles privées, où il est tout à fait normal que chaque élève ait un iPhone. Mais ce n'est pas la véritable Roumanie. Ponta connaît-il la réalité ou ment-il ? Dans un cas comme dans l'autre, son attitude est condamnable. … Car peu importe qu'il ignore tout du pays dans lequel il vit ou qu'il essaie de dissimuler la réalité : Ponta lance un défi à la majorité de la population. A ceux-là même dont il devrait se soucier, s'il était un véritable social-démocrate." (17.09.2014)
» article intégral (lien externe, roumain)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Education / formation, » Europe orientale, » Roumanie
Tous les textes disponibles de » Ioana Ene Dogioiu

Trud - Bulgarie
Bulgarie : des élections sous influence
Avant les législatives du 5 octobre, le gouvernement intérimaire bulgare a déclaré la guerre à la pratique qui consiste à acheter des voix. Le ministre de l'Intérieur Jordan Bakalov a annoncé samedi que la police mènerait une grande opération contre les bandes organisées qui proposent de l'argent aux Roms, notamment, en contrepartie de la promesse de voter pour un parti spécifique. Le quotidien Trud se montre sceptique : "Aux dernières élections, 400 cas suspects ont été répertoriés. Seuls 22 d'entre eux sont arrivés jusqu'au tribunal et un seul au final a été sanctionné par une peine de prison avec sursis. … Quelle en est la conséquence ? Les 'acheteurs de voix' se montrent de plus en plus impudents. Avant, on proposait encore de l'argent. Aujourd'hui, on a recours au chantage. Pour s'assurer la voix d'un individu, on menace de réduire son salaire, de le licencier, ou de porter atteinte à son activité, sa carrière, ses enfants ou sa tranquillité. Une chose est sûre : quiconque vend sa voix est perdant car il donne son pouvoir aux mauvaises personnes. Ceux qui ont un peu de jugeote y réfléchiront à deux fois avant de le faire." (17.09.2014)
» article intégral (lien externe, bulgare)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Élections, » Criminalité, » Europe orientale, » Bulgarie
Tous les textes disponibles de » Anna Zarkov

Aucun commentaire: