Le
26 novembre, soit environ deux semaines de là, le général Breedlove,
Commandant en chef des forces de l’OTAN, admettait qu’il n’y avait pas
de troupes régulières russes dans le Donbass. Nuance capitale, cette
déclaration avait été faite à Kiev, comme s’il s’agissait d’un message
adressé directement à Porochenko l’enjoignant à changer de tactique.
Dimanche dernier, Hollande rencontre Poutine à Vnukovo pour aborder, en
l’espace d’une petite heure, le dossier ukrainien. Mardi 9 décembre, un
cessez-le-feu jusqu’ici globalement observé est mis en place.
S’achemine-t-on vers un dénouement certes incertain mais précieux ? Quel
sens accorder de facto aux sanctions ?
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