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28 mars 2015

CRASCH A 320 : Point d'avancement des enquêtes - Révélations sur l'état de santé du copilote - Sur le site les recherches se poursuivent dans des conditions difficiles - ( notes et revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons



Il s’avère aux dernières informations que le  copilote  Andreas Lubitz  soupçonné à l’origine d'avoir provoqué délibérément la chute de l'Airbus A320 dans les Alpes françaises, a caché à son employeur et à son entourage qu'il faisait l'objet d'un arrêt maladie le jour de l'accident, d’après ce qu’a révélé  l'enquête allemande le  vendredi 27 mars.

Depuis les investigations  faites par  des médias allemands  les conduisent à    privilégier eux-mêmes l'hypothèse  qu’Andreas Lubitz était atteint  de troubles psychologiques, ce qui permet de penser qu’il n’était peut-être pas en mesure de piloter un avion. 


Rappelons  brièvement que les enquêteurs français avaient annoncé jeudi que le crash de l'avion, qui devait relier Barcelone à Düsseldorf, avait sans doute été provoqué intentionnellement par le copilote de l'appareil tandis que le  Commandant  avait été empêché de regagner le cockpit après s'être absenté quelques minutes.


Rappelons aussi que Jeudi, Carsten Spohr, .le patron de la Lufthansa avait indiqué   qu’ Andreas Lubitz avait interrompu son apprentissage «pendant un certain temps» avant de l'achever normalement et d'entamer sa carrière de copilote en 2013, en  précisant  ne pas avoir le droit d'en dire plus sur le motif de l'interruption de sa formation. Il avait aussi insisté sur le fait que Andreas Lubitz avait passé avec succès tous les tests, y compris psychologiques au moment du recrutement.


Mais le lendemain, Vendredi,  le procureur de Düsseldorf , Christoph Kumpa,  était en mesure d’annoncer   à la presse que des attestations d'arrêt maladie avaient été retrouvées déchirées chez Andreas Lubitz, mais  qu’ aucune lettre d'adieu ni écrit  qui dévoilerait un acte prémédité à l'origine de la catastrophe qui a fait 150 morts , n’ont été trouvé, ce qui viendrait   «appuyer la thèse» selon laquelle le jeune homme «a caché sa maladie à son employeur (la compagnie aérienne Germanwings) et à son environnement professionnel»


Les documents retrouvés attestent d'une «maladie existante et de traitements médicaux correspondants», a précisé Christoph Kumpa qui  toutefois n'a pas révélé la nature de la maladie.


Le président du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) a annoncé qu'il déposera une plainte contre X pour «violation du secret professionnel». Il réagissait à la révélation par la presse de la teneur des enregistrements d'une boîte noire de l'Airbus A320 de Germanwings qui s'est écrasé mardi dans les Alpes françaises.


La presse allemande donne aussi des informations plus avancées, selon ses investigations,  sans citer de source, le quotidien Süddeutsche Zeitung, indique que  les arrêts de travail seraient «apparemment» signés d'un «neurologue et psychiatre».


De son côté le quotidien Bild qui aurait eu accès à des documents officiels révèle que Andreas Lubitz  pendant sa formation de pilote, il y a 6 ans  avait souffert d’une grave dépression   et qu’il faisait l’objet  depuis lors d’un suivi médical et régulier, en soulignant aussi que  la Lufthansa, maison-mère de  son employeur Germanwings, aurait transmis en son  temps  le dossier  à l'autorité allemande de supervision du transport aérien (Luftfahrtbundesamt, LBA).


On apprend que la clinique  de Düsseldorf  a démenti les informations de presse affirmant qu'elle avait soigné le copilote pour dépression, tout en reconnaissant qu’elle l’avait reçu pour des diagnostics, sans plus de précision.


Ci-dessus nous nous sommes efforcés de rappeler  brièvement les traits essentiels de la progression de l’enquête concernant la personnalité d’Andreas Lubitz , les déclarations  du patron de la Lufthansa,, l’intention du  président du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) de déposer une plainte contre X pour «violation du secret professionnel » en  réaction  à la révélation par la presse de la teneur des enregistrements de la boite noire, à ce stade des informations il est évident que les investigations judiciaires et les enquêtes  ne pas  terminées, le dossier est   loin d’être bouclé, et quand il sera bouclé dans plusieurs semaines ou même des mois,  vu l’ampleur de cette tragédie,  il faudra encore rechercher  les responsabilités. au-delà  de la personnalité du copilote,  dont en l’état de l’enquête  on sait  seulement qu’il était suivi médicalement ,  et donc peut-être inconscient ou irresponsable du geste qu’il aurait commis,   d’après certains « délibérément » ou volontairement » , ce qui tout de même parait une interprétation qui demande à être éclaircie par des spécialistes.


D’autant que ce matin nous relevons dans la presse qu’un enquêteur français a déclaré samedi à l’AFP  que la  "personnalité" du copilote, soupçonné d'avoir provoqué volontairement le crash de l'avion de Germanwings et qui semblait souffrir de troubles psychologiques, est "une piste sérieuse", "mais pas la seule",


Selon le Général de gendarmerie Jean-Pierre  Michel, sous-directeur de la police judicaire,   qui fait partie d’une délégation de trois enquêteur français venue à  Dusseldorf pour coopérer avec les autorités allemandes, la "personnalité" d'Andreas Lubitz est "une piste sérieuse", "mais pas la seule", 


D’après ce qu’il a déclaré ce samedi à l'AFP, …,    "On a un certain nombre d'éléments qui nous permettent d'avancer dans cette piste, qui est présentée comme une piste sérieuse, mais qui ne peut pas être uniquement la seule", a ajouté cet enquêteur en expliquant «  qu'à ce stade de l'enquête, il n'y avait toujours "pas d'élément particulier" dans la vie du copilote, comme une rupture amoureuse ou un problème professionnel, qui pourrait expliquer un geste volontaire pour détruire l'avion.  .. et «  qu'il s'agissait notamment de faire le lien entre les "constatations techniques" ainsi que les relevés effectués en France et les éléments sur la vie et la personnalité d'Andreas Lubitz rassemblés en Allemagne lors d'auditions et de perquisitions. 


Mais cependant des informations  circulant dans la presse allemande et reprise par les médias européens,   font état de déclarations de l’ex- petite amie d’Andréas Lubitz , affirmant  dans une interview publiée ce samedi par le Build qu'il lui avait dit qu'un jour tout le monde connaîtrait son nom". "Un jour, je vais faire quelque chose qui va changer tout le système, et tout le monde connaîtra mon nom et s'en souviendra", et  les  médias  qui relayent  cette information ajoutent  : « que quand cette jeune femme  entend parler du crash, cette phrase du copilote de l'A320 de la Germanwings lui revient tout de suite "en mémoire", d’ après ce qu’elle a déclaré  ce samedi au quotidien allemand Bild.


S'il "a fait ça", "c'est parce qu'il a compris qu'à cause de ses problèmes de santé, son grand rêve d'un emploi à la Lufthansa, comme capitaine et comme pilote de long courrier était pratiquement impossible", affirme aussi la jeune  femme qui  explique s'être séparée d'Andreas Lubitz "parce qu'il devenait de plus en plus clair qu'il avait un problème. Pendant les discussions, il craquait et me criait dessus ... La nuit, il se réveillait et criait : "nous tombons". L'homme était aussi en proie à des cauchemars, selon elle.


Il y aurait donc bien eu une  une séparation amoureuse, reste à savoir  l’impact réel de cette rupture  sur l’état de santé du copilote 

.
On ne peut pas empêcher les médias d’informer et d’interpréter  dans tous les sens et de rapporter  des informations officielles,  des déclarations  et  des interprétations  notamment de personnalités politiques,,  certains d’entre  ces derniers pourtant hautement situés dans la hiérarchie,  s’avancent à des hypothèses qu'il énoncent comme des certitudes,  en dépit de la prudence qui s’imposent  à  donner leur avis alors qu’ils ne sont pas dans le dossier et que l'enquête ne fait que commencer .., , c’est ainsi que vendredi  Manuel Valls  en était encore à déclarer  sur i-Télé au sujet du crash de l'A320 , que "tout s'oriente" vers l'hypothèse d'un acte délibéré du copilote de l'Airbus A320 de Germanwings…….même si "aucune piste ne peut être écartée" , "Par principe, il n'y a aucune piste qui peut être écartée. Nous devons attendre la fin de l'enquête. La justice devra la vérité aux familles et aux proches des victimes. Même si hier, le procureur a donné suffisamment d'éléments pour que nous puissions penser que ce geste fou, incompréhensible, horrible, soit à l'origine de ce crash".


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  Par ailleurs des médias écrivent et cherchent à analyser quelle est la part de responsabilité de la Lufthansa  dans le crash, et celle du copilote ,  des psychologues et des psychiatres sont appelés à donner leur avis en France et en Allemagne sur le comportement du copilote,  de même que des pilotes de haut niveau,  et  on prévoit qu’un débat pourrait s’élever sur la question notamment de l’imputabilité  de la responsabilité de la Lufthansa et même de l’ autorité   allemande  de supervision du transport aérien (Luftfahrtbundesamt, LBA)(  qui avaient reçu  transmission du dossier) , quand viendra le moment d’indemniser les familles des victimes.


( Dans l’immédiat la compagnie aérienne Germanwings a annoncé vendredi qu'elle allait verser une première indemnisation de 50.000 euros par passager aux proches des victimes du crash de l' A320.  Cette aide doit permettre aux familles de faire face aux dépenses immédiates. La somme ne devra pas être remboursée, précise le porte-parole de la compagnie. La question de l'indemnisation des victimes est régie par la Convention de Montréal qui fixe cette compensation à 145.000 euros environ par personne.) 


Dans ce contexte il faudra bien sur attendre les conclusions de l’enquête officielle au vu de laquelle effectivement les responsabilités  devront être officiellement recherchées, a responsabilité reconnue et évaluée ,  et  les indemnités fixées, le tout   au cours de différentes procédures qui pourront s'avérer très longues et difficiles avant d'aboutir,  nous  sommes bien loin de ce temps,  nous avons en mémoire de précédentes affaires qui ont durée plus de dix ans.


Les médias rapportent la dernière consultation d’ Andreas  Lubitz à l'hôpital de Düsseldorf remonte au 10 mars à 11 h 07 et par ailleurs que  les policiers allemands auraient retrouvé des antidépresseurs au cours de leurs perquisitions dans le logement du copilote Andreas Lubitz.

.A ce sujet,  les médias indiquent  que  l’Association nationale de défense des intérêts des victimes d’accidents des médicaments (AAAVAM) estime qu’Andreas Lubitz, qui était «sujet aux dépressions» et «souffrait de problèmes affectifs avec son amie», avait sans doute accès aux benzodiazépines. Ces anxiolytiques «devraient être interdits aux patients atteints de ces dangereuses pathologies dépressives», estime  l’association en précisant : …,  «Ces anxiolytiques favorisent des troubles du comportement violent contre autrui pouvant permettre d’entraîner dans la mort des personnes n’ayant aucun lien avec l’individu suicidaire (accidents de la circulation, accidents ferroviaires, etc.)», explique encore l’AAAVAM.

   On peut même peser que même sans intention suicidaire ces anxiolytiques peuvent provoquer des pertes de conscience morale ou intellectuelle incompatibles  avec l'exercice d'une activité professionnelle qui demandent une concentration et une attention constante et soutenue. 

Le frère d’une des victimes  Belges  envisage de déposer plainte  , «Quand on apprend ça  [le crash volontaire du copilote] , d'abord on n'y croit pas, on essaye de se dire que ce n'est pas possible», a expliqué sur les ondes  Claude Driessens, le frère de Christian Driessens, un voyageur belge décédé dans le crash. «Avec le recul, je commence tout doucement à être fâché. Je ne comprends pas comment une société sérieuse puisse laisser un homme dépressif piloter l'avion. Car il était dépressif le garçon, il faut dire ce qui est. Sur ce point j'en veux à la société (Germanwings ) de ne pas avoir instauré dans leur règlement intérieur le fait qu'il doit toujours y avoir deux personnes dans le cockpit. Je tombe à la renverse. Ce n'est pas normal de laisser quelqu'un aux commandes tout seul, et qui bloque les portes, je suis très fâché.»

 
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Les Recherches se poursuivent méthodiquement sur le site dans des conditions  très difficiles .d’accès..

Chaque matin, les techniciens sont hélitreuillés à plus de 1 500 mètres d'altitude, et tout le temps de leurs recherches, ils restent encordés à des secouristes de montagne qui assurent leur sécurité.


Compte-tenu de la difficulté de la tâche, physiquement et moralement, une cellule psychologique a été installée pour accompagner les techniciens sur place.

Pour les enquêteurs, il s'agit avant tout  d'identifier au plus vite les corps évacués de la montagne, notamment grâce aux prélèvements effectués sur les familles jeudi après-midi., et de retrouver la deuxième boite noire.
Les recherches continuent donc sur le site du drame, notamment pour permettre d'identifier les corps des 150 personnes décédées dans le crash,   les médias rapportent les grandes difficultés  liées à la collecte des échantillons sur la zone de crash , sur un terrain très friable.


Il est indiqué que les enquêteurs ont pu  prélever des éléments biologiques, de l'ADN , qui sera ensuite envoyé à l'institut de recherche criminelle de Rosny-sous-Bois." 


 Le lieutenant-colonel Xavier Vialenc, porte-parole de la gendarmerie  a expliqué : «Des débris de l'avion il ne reste pas grand chose, c'est surtout les restes humains qui sont nombreux à collecter, les opérations pourraient encore durer deux semaines»

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 Parmi la quinzaine d'enquêteurs, dix se consacrent aux prélèvements ADN et cinq autres à l'enquête judiciaire. «Nous avons un labo in situ mis en place dans la commune, dans un local technique de Seyne, à 800 m de la dropzone (aérodrome) ou nous procédons à la chaîne d'identification des victimes», a précisé  Xavier Vialenc.


 L'endroit est sous haute surveillance: plusieurs voitures de police montent la garde devant la grille du portail qui a été entièrement masquée.


Pour pouvoir identifier les victimes, les gendarmes cherchent d'abord à prélever leur ADN sur des objets qui leur ont appartenu, type brosse à dent. Si les proches ne disposent pas de tels éléments, des prélèvements, de salive notamment, sont effectués sur les membres de la famille. Quand l'identification est effectuée, tous ces éléments sont détruits.


«Une fois l'identification effectuée, tous les éléments ADN seront détruits» C'est systématique, affirme la gendarmerie.


 «Nous avons de toutes les équipes un investissement sans faille et sans borne», assure la gendarmerie, les éléments identifiés sur le site «sont enregistrés les uns après les autres de manière à être exploités indifféremment».


 Interrogé sur la possibilité d'analyser les restes du corps du copilote, la gendarmerie précise que ces analyses pourront se faire quand l'identification sera terminée.  «Je pense que nous devrions être en mesure de procéder à l'ensemble des identifications» des victimes »


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Du pont de vue technique les techniciens recherchent aussi  des débris  matériels et de l’avion et la deuxième boite noire 


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Accueil des familles : solidarité, recueillement :

.Ci-dessous nous avons relevé dans différents médias  quelques lignes des chapitres consacrés à la solidarité qui se manifeste pour les familles des victimes, 


«  Les habitants de la région où s'est écrasé l'Airbus A320 sont des dizaines à proposer leur aide aux familles et  proches des victimes,   une  très grande solidarité  se manifeste  sur place pour l’accueil et le soutien des familles des victimes de la part des habitants, des associations,  des élus et   des autorités. Certains offrent  de loger des personnes, d’autres propose  leur résidence secondaire,  d'autres proposent leurs services.. 


«  La chapelle ardente est constamment garnie de cierges et fleuries par   et les habitants  et les familles  qui viennent  s’y recueillir ensemble, une  cérémonie religieuse en hommage aux victimes s'est déroulée samedi 28 mars à la cathédrale Notre-Dame-du-bourg à Digne-les-Bains. 


«  En mairie de Seyne, le village à proximité duquel s'est écrasé mardi l'A320, Charles Lanta, un habitant d'un autre village voisin, Montclar, est venu aussi se porter volontaire: «Nous sommes tous solidaires, naturellement. Il n'y a pas de pays, pas de religion. J'ai même des amis qui m'ont téléphoné pour me dire "récupère les clés du chalet, et tu accueilles chez nous tous ceux qui en ont besoin". On est malheureux pour tous ces gens. 150 personnes sont mortes, cela en fait 2000 qui pleurent», raconte-t-il d'une voix étouffée dans un sanglot, dans sa tenue de cycliste.


" Il y a aussi cette femme et ses trois enfants, venus livrer au centre d'accueil des gâteaux encore tout chauds, faits maison. «C'est important, pour consoler les parents des enfants. Nous savons qu'un avion s'est crashé, il y avait les enfants d'une classe. C'est triste... Alors on a eu idée de faire quelque chose», explique Armelle, 8 ans. «C'est venu des enfants», confirme la maman.


«Dans ce monde d'égoïsme, qui se referme sur lui-même, il y a encore des gens qui ont du cœur», a confié  Michel Blanc, adjoint à la mairie de Digne.


A la petite église de Seyne. , un écriteau signale qu'un registre de condoléances est à la disposition de ceux qui le souhaitent. «Que le temps vous aide a surmonter cette épreuve», dit aussi une habitante de Seyne. On lit aussi des témoignages de soutien en anglais, en espagnol. «Nous sommes le premier maillon du travail de deuil», assure le maire de Seyne, Francis Hermitte


 «  Une stèle a été installée dans le village de La Vernet en l'hommage des 150 victimes. 


«  Une messe a été  célébrée samedi à Digne, dans les Alpes-de-Haute-Provence, en hommage aux 150 victimes du crash de l'avion de Germanwings et de leurs familles. L'office entièrement religieux a eu lieu à 10h30 en la cathédrale Notre-Dame-du-Bourg.  


REVUE DE PRESSE :


leJDD.fr
 - ‎Il y a 34 minutes ‎



Selon le journal Welt am Sonntag, la police allemande a retrouvé dans l'appartement d'Andreas Lubitz à Düsseldorf "un grand nombre de médicaments" destinés au traitement de troubles psychiques. Le copilote de la Germanwings aurait également été pris


L'Obs
 - ‎Il y a 7 minutes ‎




Düsseldorf (Allemagne) (AFP) - Le copilote soupçonné d'avoir provoqué délibérément le crash de l'Airbus A320 de Germanwings, qui a fait 150 morts, était angoissé par ses "problèmes de santé", apparemment des troubles psychiatriques, et avait promis ...

lalibre.be
 - ‎Il y a 8 minutes ‎



L'Obs
 - ‎Il y a 9 minutes ‎



La Provence
 - ‎Il y a 19 minutes ‎



France Soir
 - ‎Il y a 29 minutes ‎



metronews
 - ‎Il y a 48 minutes ‎




L'Obs
 - ‎Il y a 9 minutes ‎



Düsseldorf (Allemagne) (AFP) - Le copilote soupçonné d'avoir provoqué délibérément le crash de l'Airbus A320 de Germanwings, qui a fait 150 morts, était angoissé par ses "problèmes de santé", apparemment des troubles psychiatriques, et avait promis ...
Le Point
 - ‎Il y a 56 minutes ‎



Des médicaments à son domicile, des problèmes de vue, des angoisses, des cauchemars, on découvre chaque jour ce qu'avait caché le copilote à ses employeurs. Andreas Lubitz, le copilote soupçonné d'avoir provoqué l'accident de l'A320 dans lequel 150 ...
Pourquoi Docteur ?
 - ‎Il y a 55 minutes ‎



Les enquêteurs suivent la piste d'un "suicide altruiste" pour expliquer le crash de l'Airbus A320. Témoignages et documents semblent confirmer qu' Andreas Lubitz souffrait de dépression depuis plusieurs années. Crash de l'A320: l'ex-compagne du copilote ...
Challenges.fr
 - ‎Il y a 54 minutes ‎



BERLIN - Andreas Lubitz disait qu'un jour il "changerait le système" et que "tout le monde connaîtrait son nom", affirme samedi dans le quotidien allemand Bild une ancienne petite amie du copilote de l'Airbus A320 de la Germanwings soupçonné d'avoir ...
TF1
 - ‎Il y a 57 minutes ‎



Si Andreas Lubitz "a fait ça", "c'est parce qu'il a compris qu'à cause de ses problèmes de santé, son grand rêve d'un emploi à la Lufthansa, comme commandant de bord et comme pilote de long courrier était pratiquement impossible". Dans un entretien ...
Le Club de Mediapart
 - ‎Il y a 1 heure ‎



Andreas Lubitz, le copilote allemand de l'A320 de la compagnie allemande à bas coût Germanwings, qui s'est écrasé mardi 24 mars 2015 à 10h 40, dans le massif des trois évêchés, dans les Alpes-de-Haute-Provence, à 1600 mètres d'altitude, n'était pas ...

Voir l'actu en direct »


Source : Matin on line (suisse)

Autres sources
www.rfi.fr/.../20150328-a320-indemnisation-familles-pourrait-couter-ch...
·  Il y a 10 heures - Des révélations qui risquent de soulever un débat sur la question de la responsabilité de la compagnie allemande Lufthansa, quand viendra ...
www.francetvinfo.fr › Faits-divers › Accidents › Crash dans les Alpes
Il y a 18 heures - Mais au-delà du problème de l'image, "il y a aussi un problème financier, car si la responsabilité directe de la Lufthansa peut être envisagée ...
www.lepoint.fr › Économie
·  Il y a 2 jours - Lufthansa n'avait vraiment pas besoin de cela en ce moment. ... "C'est un des jours les plus noirs de l'histoire de Lufthansa", a reconnu sa directrice .... un dossier électrique · Le pacte de responsabilité de François Hollande.
www.boursorama.com › Mon Bourso › Communauté
·  Il y a 2 jours - 2 messages - ‎2 auteurs
car remettre en vol un individu après un épisode de sa vie en dépression et burn out.Le malaise des employés de la compagnie est d'ailleurs ...
www.boursorama.com › Actualités › Générales › Flash
·  Il y a 1 jour - Lufthansa, dont un avion s'est écrasé mardi, faisant 150 morts, ... Cela n'empêche pas la compagnie d'assumer sa responsabilité: elle a pris en ...
www.liberation.fr › Société › Crash dans les Alpes
·  Il y a 20 heures - En tant que maison mère de Germanwings, c'est Lufthansa qui assumera la responsabilité juridique et financière de la catastrophe.




 
 

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