Samedi 16 Mai a eu lieu à Fréjus dans le Var, une cérémonie émouvante ;
il s’agissait de l’inauguration de la stèle érigée à la mémoire de nos morts tombés
pour que vive la France en Algérie.
Certains politiques ici en France ont la fâcheuse habitude de qualifier comme nostalgiques de l’Algérie Française les
français d’Algérie et les harkis
RAPATRI2S EN France ? c’est une fausse idée qu’ils veulent donner d’un
peuple courageux qui loin d’être nostalgique portent secrètement au cœur la
blessure profonde de l’abandon de l’Algérie Française en 1962 aux mains des
rebelles à la suite d’une longue guerre qui a durée sept ans , mais il faut bien
souligner que nous sommes blessés à vie , mais pas nostalgique, la nostalgie et les
lamentations perpétuelles à longueur de soirées et de réunions ou encore les souvenirs et commémorations continuelles,
de même que les soirées télévisées à longueur de semaines, ce n’est pas notre
genre, en effet quand on se laisse gagner par la nostalgie on devient schizophrène
et on s’immobilise dans la douleur qui empêche de regarder le présent et l’avenir,
or nous français d’Algérie et Harkis fidèles aux valeurs françaises, malgré le
très mauvais accueil que nous avons reçu en France de la part de la plupart des français de France qui ne nous
connaissait que des on-dit calomnieux, nous nous somme immédiatement remis à l’œuvre,
au travail avec un courage qui renverse des montagnes et nous avons rétabli au
fil des ans au prix de notre travail sans relâche le niveau de
vie de nos familles et de plus peu à peu gagner l’estime et l’amitié des
français qui ont bien voulu apprendre à nous connaître, à tels points que
certains d’entre eux ont adoptés aussi notre joie de vivre et notre espérance ,
alors que nous avons à leur contact aussi renouer avec les traditions et cultures régionales de nos ancêtres
français et européens que nous avions un peu perdu sous le ciel et le soleil d’Algérie.
Pour en revenir à la cérémonie de Fréjus les médias locaux en ont parlé, mais la nouvelle bien sûr
n’a pas été reprise par les médias parisiens qui ont l’habitude de planer dans
les caniveaux et les pourrissoirs
politiques pour y pêcher des scandales et potins dont ils font
leur ordinaire pour meubler les colonnes de leurs journaux , ondes et écrans.
Après avoir donné mon sentiment sur ce que je pense de notre passé et notre présent, je vous
invite à lire les discours que les personnalités présentes ont prononcés lors de l’ inauguration de la
stèle de Fréjus le 16 mai 2015, ces discours sont comme des pages d’histoires
que nos jeunes pourront lire avec attention à défaut de pouvoir en être
instruit dans le système scolaire qui censure impitoyablement des chapitres
entier de notre histoire ou les travestissent à leur façon .pour culpabiliser la France .
;
Avant de lire les discours, il
faut noter que le Sénateur Maire de
Fréjus David Rachline et son conseil municipal à Fréjus avaient accepté, accompagné , aidé et soutenu ce projet, ce dont nous tenons ici
à le remercier chaleureusement, en effet ce ne
sont pas tous les Maires de France qui rendent avec courage et sincérité comme David Rachline hommage à la mémoire de ceux qui sont morts et ont
combattus pour que vivent l’esprit Français et ce qu’il faut encore souligner c’est que
Monsieur Rachline dans son hommage est
allé bien au-delà et qu’il s’adressait
aussi à tous ceux qui, de 1830 à 1962,
se sont battus pour cette terre qui fut si longtemps la France.
Voici donc ci-dessous les discours prononcés par les différentes
personnalités :
1 - Discours de Monsieur Jean Paul Selles, Délégué PACA du
Rassemblement National des Français d'Algérie
Monsieur le Sénateur Maire de FREJUS
Messieurs les Conseillers Municipaux
Messieurs les Elus
Mesdames et Messieurs les Présidents d’Associations d'Anciens
combattants, Patriotiques, et d'Amicales de Rapatriés Français d 'Algérie
Chers Amis Compatriotes,
Votre présence ce jour est un réel réconfort et atteste de votre
attachement porté à la Vérité de l 'Histoire de FRANCE et de l’Algérie toujours
chère à notre cœur.
53 ans viennent de s'écouler depuis l’Exode et l'abandon de nos 15
départements français d'ALGERIE.
Les plaies ne sont pas encore hélas cicatrisées et il est probable
qu'elles ne le seront jamais, puisqu'il n'y a aucune réponse à nos questions
posées aux différents Gouvernements depuis 1962. aucune prise en compte des falsifications,
nuisant à la grandeur de la FRANCE
L'exemple en est l'occultation au dernier moment, dans le Décret de la
Loi de Février 2005-article 2 - évoquant le rôle positif de la FRANCE, sous la
pression de pseudos historiens.
Ainsi les voies ferrées, les routes, les ports, les hôpitaux, les
facultés, l'Agriculture et toutes autres réalisations laissées en héritage, ne
seraient donc que pur mirage ?
Des Négationnistes voudraient faire disparaître, de l’Histoire de
FRANCE en ALGERIE, l'œuvre humanitaire et civilisatrice de nos aïeux.
Les manuels scolaires dénaturent les vérités de l’histoire pour
culpabiliser nos enfants et humilier la France
Alors que faire sinon sauvegarder ce DEVOIR DE MEMOIRE par une Stèle
qui rendra éternellement Hommage à tous ceux qui sont tombés pour que vive la
FRANCE en ALGERIE, et dont il est impératif de rappeler l'importance et la
grandeur de son œuvre pendant 130 ans.
Il convient de ne pas oublier les nôtres qui sont venus très nombreux
répondre à l’Appel de la FRANCE menacée de l’extérieur et, mobilisés en 1940 à
16 % de notre population pour constituer l'ARMEE d 'AFRIQUE se battre, et pour beaucoup d'entre eux
mourir pour elle
Comment ne pas revenir sur les premiers assassinats de 1954 alors que
les époux MONNEROT fraîchement débarqués de la France métropolitaine, tombèrent
dans une embuscade ? Ils venaient en ALGERIE, enseigner l’Histoire de France
aux petits écoliers arabes du Bled.
Et ensuite revenir sur la Guerre d 'Algérie motivant la mobilisation
des Appelés, huit années durant
Les manuels scolaires, depuis 50 ans, dénaturent les vérités de
l’Histoire pour culpabiliser les enfants et humilier la FRANCE.
L'ALGERIE, est un sujet tabou ou
pire, sujet de mauvaise conscience, donc de repentance.
Nous, encore survivants, n’oublierons jamais les 27.000 soldats morts
au combat, les 343 militaires disparus
et oubliés dans les honteuses négociations d’EVIAN, les
150.000 Harkis lâchement abandonnés, désarmés, qui avaient choisi le camp de la
France et en ce qui concerne les civils, les victimes de la fusillade du 26
mars 1962 à ALGER rue d'Isly, le massacre de 3.000 à 5000 oranais du 5 Juillet
1962. Et les milliers de disparus dont les familles sont toujours sans
nouvelles.
Comment ne pas comprendre la
légitimité de la révolte des combattants d'un Peuple abandonné, SANS
DEFENSE, de sa propre Patrie, face à ses
assassins de la veille, militairement vaincus.
L'illégalité des moyens coercitifs d'une certaine Police et d'une
certaine Justice pour mâter par tous moyens, les Défenseurs des Territoires
français de la République en ALGERIE
Comment accepter la commémoration chaque année du 19 mars 1962 fêtée
par la FNACA, concomitamment avec le FLN en ALGERIE ? En dotant chaque ville et
chaque village, d'une rue, ou d'une place 19 Mars 1962, date de capitulation
qui humilie la FRANCE.
Que cette STELE demeure le témoin de notre action tendant à restaurer
les valeurs millénaires de notre Patrie, de son action sur toutes les latitudes
et dont il convient de ne pas dévaluer mais de défendre.
Grâce à vous, Monsieur le Sénateur- Maire, la Vérité est à l'ordre du
jour, et nous sommes à même de lui ouvrir le chemin.
Au nom du Collectif RNFAA
(Rassemblement National des Français d'Algérie et leurs Amis ) , de son Secrétaire National , Fred
ARTZ, et en tant que Délégué Régional PACA, qu'il me soit permis
,Monsieur le Sénateur Maire de vous
remercier très chaleureusement pour
avoir accueilli spontanément ce projet ,ainsi que toute votre équipe technique
qui a œuvré pour sa réalisation, et de remercier bien entendu tous les généreux Donateurs, qui
nous ont fait confiance et sans qui cette belle stèle n'aurait pu voir le
jour..
A vous tous, rendez-vous à
l’année prochaine dans cette belle ville de FREJUS pour le même
recueillement mais peut être à une date différente.
Merci de votre attention, Jean Paul SELLES
____________/
2 - Discours de Monsieur Jean-François Collin de l’ADIMAD – MRAF
Monsieur le Sénateur Maire
Messieurs les Elus
MM. les Présidents d'Associations
Patriotiques, d'Anciens Combattants, de Rapatriés, et de Réfugiés
Messieurs les Porte Drapeaux,
Chers Amis,
Mesdames, Messieurs,
Je tiens tout spécialement à vous remercier, Monsieur le Sénateur Maire
David Rachline sans qui cette stèle n'aurait pas été érigée ici, dans ce
superbe endroit. Vous avez montré le courage que d'autres n'ont pas eu et pas
bien loin d'ici… Toute notre gratitude vous est acquise et nous saurons ne pas
l'oublier.
Ce Monument fait face à cette mer dont nous n'aurions jamais pensé
qu'elle serait le chemin de notre exil, face à notre Algérie perdue et qui
brûle toujours en nous d’un feu inextinguible… Il restera pour nous comme le
symbole rappelant le juste combat d'un peuple pour sa terre, pour son
existence.
Aujourd’hui 16 mai 2015 nous nous souvenons qu’il y a 61 ans commençait
le calvaire de tout un peuple meurtri à jamais dans sa chair, trahi dans sa
confiance, abandonné à lui-même…
Je rappelle que le 1er novembre 1954 ne fut pas le début d'une guerre.
A-t-on jamais vu un pays se déclarer la guerre à lui-même ?
Cette Stèle rappellera toujours l'une des tragédies les plus grandes de
l'histoire de notre pays :
- La violation de la Constitution conduisant à la livraison de 15
départements français à des gens sans légitimité autre que le sang versé.
L'abandon à leurs tortionnaires de millions de Compatriotes, de toutes
confessions, sous le regard impassible des forces gouvernementales.
- La tragédie immense des milliers de disparus pour lesquels aucun
gouvernement, depuis 53 ans, n'a demandé le moindre compte au FLN.
Et sans omettre les 343 soldats français déclarés prisonniers par ce
même FLN et qui ont été "oubliés" dans les "accords
d'Evian". Et dont personne n'a jamais demandé compte !
- La déportation de plus d'un million de Français qui ne pouvaient
choisir qu'entre "la valise ou le cercueil" !
- Le génocide des 150.000 Harkis, soldats victorieux désarmés et livrés
à l'ennemi par leurs chefs qui préférèrent la soupe à l'Honneur !
Seule la qualification de "crime contre l'humanité" peut s'appliquer
à ces actes abjects.
Et pourtant le référendum de 1958 avait montré qu'une immense majorité
des habitants des 15 départements français d'Algérie se reconnaissait française
à jamais ! Et pourtant l'indiscutable victoire militaire qui s'ensuivit fut
hélas transformée par la volonté politique du Président de la République du
moment en une sinistre capitulation dite fallacieusement du "Cessez le feu du 19 mars 1962 à
Evian". Je rappelle que ces dits "Accords d'Evian" ne furent
ratifiés que par le gouvernement de Paris ! Le GPRA refusa, quant à lui, de les
avaliser !
Et ceci honore la réaction désespérée des Résistants et Patriotes dont
nous rappelons qu'ils furent victimes de tribunaux d'exception, qu'ils furent
emprisonnés durant sept ans, qu'ils furent torturés par les polices parallèles,
qu'ils furent assassinés en criant : "Algérie française". Et qui sont
toujours vilipendés aujourd'hui !
En rendant hommage aux Morts civils et militaires de la guerre
d'Algérie, vous répondez, Monsieur le Sénateur Maire, à l'attente de vérité de
millions de compatriotes d'Algérie de toutes origines et de toutes confessions.
Nous avons le sentiment, qu'aujourd'hui, 16 Mai 2015, à Fréjus, le
souffle de vérité du 14 mars dernier qui s'est levé à Béziers et que le
"système" politique étouffait
depuis plus d'un demi siècle, trouve un nouvel élan qui ne se tarira pas et qui
balaiera le mensonge et les flétrissures qui affectent la France.
Monsieur le Sénateur Maire, les Patriotes et les Français d'Algérie,
qui n'ont plus leurs monuments aux Morts, détruits, ni leurs cimetières,
profanés et laissés à l'abandon – et dans quel état ! - en terre désormais
étrangère, sont fiers de pouvoir se recueillir et prier devant ce Monument,
dans ce lieu public. Ils honoreront ainsi toujours la mémoire de tous ceux qui
sont tombés glorieusement pour que vive la France en Algérie française.
"Seigneur voici couler le sang de nos garçons,
Il a tout recouvert la patrie déchirée.
Quand verrons-nous jaillir, ô tardive saison,
De tout ce sang versé la moisson désirée ?"
Robert
Brasillach
Jean-François Collin, ADIMAD MRAF
___________________/
3 - Discours du Maire de Fréjus Monsieur David Rachline.
Mesdames et messieurs les élus,
Mesdames et messieurs les présidents et responsables d'associations,
Mesdames et messieurs qui êtes nés, avez vécu ou avez combattu en
Algérie,
Mesdames et messieurs,
Certains se souviennent des rues d'Alger, d'autres du soleil du
Constantinois, ou encore du port d'Oran... L'Algérie était alors terre de
France.
Une terre peuplée, enrichie, cultivée et développée par des colons
français. Une aventure qui débuta il y maintenant près de deux siècles.
Des décennies d'efforts et d'investissement furent nécessaires pour
défricher les forêts, assainir les marais, fertiliser les sols, irriguer les
terres et cultiver des millions d'hectares jusqu'alors inexploitables. Mais
aussi créer une fonction publique dans l'intérêt général de ce nouveau
territoire, construire des routes, des ports, des voies ferrées, des aérodromes,
des barrages, implanter des usines, des commerces et des administrations
indispensables, fonder des hôpitaux publics, des dispensaires et des écoles
pour servir au mieux ce nouvel enfant de la République - car c'est la
Constitution de 1 848 qui, la première, un an après la reddition
d'Abd-el-Kader, déclara l'Algérie partie intégrante de la France- ce nouvel
enfant de la république donc, qu'était le territoire de l'actuelle Algérie.
Cela, il faut le rappeler, au lieu de sombrer dans une repentance
mortifère, malheureusement fort à la mode chez nos politiques à la mémoire
sélective. Mais je sais que, pour tous ceux qui ont connu l'Algérie, aucune
désinformation ne leur prendra leurs souvenirs.
Mais l'Algérie fut aussi une terre de passions, de déchirements, de
larmes et de sang.
Pieds noirs et harkis ont été de toutes les guerres de la nation. Nous
avons tous en tête l'Armée d'Afrique, ces fiers tirailleurs et ces courageux
chasseurs prenant les armes pour la mère patrie : combien sont tombés à Sedan,
à Verdun, ou pour libérer notre terre de France lors du débarquement de
Provence ?
Mais pieds noirs et harkis ont vu leurs rêves devenir cauchemars, leur
chez soi devenir étranger.
Pieds noirs et harkis et tous ceux qui ont été combattre en Algérie ont
vu des hommes et des femmes, des soldats et des civils, des jeunes et des
enfants périr. Ils ont payé le prix de la vengeance aveugle, le prix le plus
élevé, celui du sang.
Combien sont tombés pour leurs idéaux, pour leurs familles, pour leurs
maisons ? Combien sont tombés pour que vive la France en Algérie ? Combien à
Sétif, à Oran, à El Halia, à Alger pour que continue à flotter le drapeau bleu
blanc rouge ?
Combien sont partis en exil pour ne plus jamais voir une terre qui les
avait vus naître, grandir, travailler et fonder un foyer, laissant tout
derrière eux et avec leur vie à reconstruire ? Et combien aussi de nos amis
harkis honteusement abandonnés par le pouvoir de l'époque, et qui payèrent très
cher leur courage, leur fidélité et leur droiture ?
La France a alors fait ses choix. On ne refait pas l'histoire, même si
beaucoup semblent aujourd'hui avoir envie de la façonner et de la déformer à
leur goût. La réalité est gravée dans les mémoires de tous ceux qui étaient
alors présents en Algérie. Ils s'en souviennent. Comme ils se souviennent aussi
de tous ceux qui y sont tombés pendant ces tristes années. Sachant que
l'hommage que nous rendons aujourd'hui va bien au-delà, et s'adresse à tous
ceux qui, de 1830 à 1962, se sont battus pour cette terre qui fut si longtemps
la France.
Le présent ne se débarrasse jamais des plaies béantes du passé, et le
souvenir doit être transmis de génération en génération. Car nous avons tous un
devoir de mémoire. Nous ne pouvons accepter que cette histoire, notre histoire,
soit méprisée comme elle le fut par le maire d'une ville voisine qui refusa un
tel hommage après l'avoir promis avant l'élection municipale. Nous ne pouvons
accepter qu'elle soit salie ou bafouée par tous ceux qui portent en eux la
haine de la France et qui rêvent d'effacer son passé pour mieux lui ôter son
futur.
Cette stèle que j'ai l'immense honneur de dévoiler et d'inaugurer
aujourd'hui en hommage à tous ceux qui sont tombés pour que vive la France en
Algérie n'est pas une stèle de plus qui donne bonne conscience à ceux qui ont
peur d'oublier ! Non. Cette stèle c'est la pierre de la république qui dit ici
sa Loi, ses Principes et ses Valeurs : celles de l'amour et la protection du
Peuple, celles de la Marseillaise et du Drapeau, celles de Sidi-Brahim où lorsque
tout est perdu la patrie demeure le seul bien de chacun.
Je souhaite remercier tout particulièrement le Collectif Rassemblement
national des Français d'Algérie et leurs amis, qui a, avec de nombreuses
associations, organisé la collecte pour cette stèle ; remercier les nombreux
donateurs et remercier enfin l'association « La Maison du pied-noir et de ses
amis » du don qu'elle fait à la ville de Fréjus, qui est particulièrement
heureuse, fière et honorée de l'accepter et de l'accueillir.
Et en ce moment d'émotion, rappelons-nous les leçons de l'histoire afin
de ne pas répéter les erreurs du passé. Pour que vive la France, le souvenir
doit être entretenu tel un feu ardent, le présent être consacré au bien du
peuple et de la patrie et alors seulement l'avenir pourra se conjuguer en
français.
Vive Fréjus, Vive la France et vive le souvenir de la France en Algérie
!
ooOoo
Nous vous recommandons la lecture de l’article ci-dessous en lien actif, dans lequel vous
pourrez voir des photos de cette cérémonie :
INAUGURATION DE LA STELE DE FREJUS
babelouedstory.com/thema_les/asso/5981/5981.html
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