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16 juin 2015

Gilbert Collard et le "Réchauffement Climatique"

Editorial de lucienne magalie pons



Il arrive à Gilbert Collard d’être excellent quand il s’occupe de questions politiques  importantes,  il est moins bon quand il passe son temps à dire tout et n’importe quoi dans l’Emission  les Grosses Gueules, et  surtout encore bien moins bon quand il s’avise d’attaquer  Jean-Marie  Le Pen dans les médias-système  pour ne pas rester en reste des  attaques  auxquelles se livrent trop souvent les « philippot - grostesques », mais cette fois il faut reconnaître que Gilbert Collard a fait du très bon travail en publiant sur son site officiel un article scientifique et politique  sur le Réchauffement climatique.

C’est une excellente initiative de la part de Gilbert Collard,  Député du Gard,  de s’intéresser au réchauffement climatique et de faire partager cet article sur son site et c'est bien là le rôle noble d'un homme politique, de surcroit  avocat , d'informer ses électeurs sur un sujet d’actualités avec la conférence CAP 21 qui se profile pour le mois de décembre prochain,  plutôt  que de se perdre dans des propos malencontreux  avec les médias système contre le Président fondateur du FN. pour lequel il faut bien le dire les adhérents du FN et de nombreux Français éprouve des sentiments de fidélité à ses principes.

Pour en revenir  au Réchauffement climatique, comme je retrouve dans cet article une excellente  analyse  qui reflète exactement ce que je pense,  répète et écrit depuis des années à savoir sur les mensonges  et la propagande  pseudo-scientifique internationale  colportés par les politiques en place , les écologistes et les médias  pour instaurer une fiscalisation mondiale.

En effet les discours et la menace du réchauffement climatique n’est qu’une théorie que les dirigeants veulent imposer comme parole d’évangile,  comme une certitude à courte échéance pour terroriser les populations et les entreprises  en prédisant des catastrophes apocalyptiques,  tout en les  culpabilisant  de surconsommer des énergies produisant des pollutions de dyoxide  de carbone, C02  etc...   responsables d' "un effet de serre dramatique", et  qu'ils ont la prétention de réduire en instaurant des taxes en attendant de passer à une transition énergétique qui est annoncée mais qui  en fait est toujours retardée en faveur du nucléaire  , or  ce discours  alarmant ne repose que  sur des  observations et données météorologiques  de sources techniques aléatoires,  et partielles géographiquement,  et sur  une période relativement courte,  par rapport aux analyses et études très précises  des géophysiciens et géologues qui  eux combattent cette théorie avec des arguments scientifiques indiscutables.

En effet des Géophysiciens et  des Géologues de grandes renommée , mais aussi des personnalités  scientifiques et même politiques,comme par exemple Claude Allègre, savant géochimiste, ancien Ministrede l'Education Nationale , de la Recherche et de la Technologie, ( qui sont  tous écartés des débats officiels ) , combattent cette théorie, en se fondant sur leurs recherches, observations, études  et analyses selon  des  méthodes  plus rigoureuses  que celle du GIEC,  il faut savoir notamment   que  les méthodes   des géophysiciens et des géologues se sont très développées et affinées depuis le début de la recherche des pétroles , et leurs ont permis  de découvrir, d’analyser et d’étudier,  d’après des prélèvement souterrains et maritimes horizontaux  à très grandes profondeurs , des périodes  glaciaires et interglaciaires très anciennes alternées et de pouvoir prouver que dans des ères anciennes jusqu'à la nôtre se sont déjà produites  des  variations climatiques à 10 reprises au moins, espacées d’environ 100 000 ans et  de  démontrer qu’ au début du quaternaire – notre ère actuelle –  notre planète  Terre connaît des variations de son orbite et de légères modifications de son axe de rotation, que cela a  eu  pour effet de provoquer de fortes oscillations climatiques, la   dernière période glaciaire s’est étalée de 110 000 ans à 13 000 ans.,  que nous sommes en période de réchauffement climatique  et que d’ici   à 10 000 ans, il faut s’attendre à l’avènement d’une nouvelle période de refroidissement.


Après ce préambule il est temps de prendre connaissance  ci-dessous de l’article publié sur son site officiel par le Député Gilbert , vous y trouverez aussi des lien actif conduisant vers des documents de références. : 

·         Copié/collé : 

Jean Goychman – Réchauffement climatique : un mensonge planétaire pour un impôt mondial
Jean Goychman – Réchauffement climatique : un mensonge planétaire pour un impôt mondial
par Anthony L · 15 juin 2015
Il y a une dizaine d’années, un de mes amis, enseignant chercheur à l’Ecole Centrale et physicien de son état, m’avait un peu étonné en me disant que Claude Allègre avait probablement raison de ne pas croire à la théorie du réchauffement climatique lié à l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère.

En 2009, ayant appris qu’un géophysicien français nommé Vincent Courtillot allait donner à Nantes une conférence sur ce sujet, j’ai décidé d’aller l’écouter.

Vincent Courtillot est un scientifique, et il est donc un peu comme Saint Thomas. Il ne croit que ce qu’il peut constater. Il a donc commencé par analyser la méthodologie utilisée par les tenants de la théorie du dioxyde de carbone1. Premier élément : comment ont-ils réussi à déterminer la température moyenne de la Terre depuis 1850 et qui s’est occupé de collecter les données ? Sa réponse est claire : toutes les données de mesure de température viennent d’un laboratoire anglais, le HAD (Hadley Research Center)

Comment a été établie la base des données moyennes ? Une grosse surprise nous attend : Si les données terrestres proviennent de stations météo et peuvent donc être validées, les données maritimes sont beaucoup plus « aléatoires ». Il n’y a eu pratiquement aucun relevé de température entre 1850 et 1900 et très peu jusqu’ en 1950. Rappelons que les océans recouvrent les 2/3 de la planète. En fait, ils avaient découpés les océans en carrés de 500 km de côté, et il suffisait d’un relevé de température de l’eau de ce carré à un moment donné, pour que cette température soit affectée à l’ensemble de la zone, quelquefois durant plusieurs années.

Plus curieux encore, lorsque Vincent Courtillot et son équipe ont demandé au HAD de leur fournir une copie de leurs enregistrements, celui-ci a refusé. Le conférencier met donc en cause la notion de « température globale » en se demandant si une telle température a réellement un sens physique, et en faisant observer qu’elle ne peut être une température au sens de la thermodynamique.

Or, tout le discours du réchauffement climatique est basé sur cette température globale qui est censée augmenter au fil du temps en fonction du tonnage du dioxyde de carbone résultant de l’activité humaine. Un peu gênant quand même.

Mais Vincent Courtillot ne s’arrête pas là. Il produit ensuite les relevés de température enregistrés au XXème siècle aux Etats-Unis et en Europe et compare les résultats à ceux publiés par le GIEC2 Encore un sujet d’étonnement : les courbes ne coïncident pas. D’après les services météo des USA, l’année la plus chaude enregistrée sur le territoire américain est 1930. Cela revient à dire que ce qu’on veut à tout prix démontrer, à savoir que la température moyenne augmente avec le temps, est faux. D’autant plus faux, d’ailleurs, que nous apprenons quelques minutes plus tard qu’en réalité, la température de la surface de la planète a plutôt tendance à baisser depuis 1998.
Je ne vais pas commenter jusqu’au bout cette conférence et ceux qui sont intéressés peuvent facilement se rendre sur le site : https://www.youtube.com/watch?v=uXeRbbM2AjY

Ce que nous pouvons en retirer, c’est que la théorie du réchauffement climatique dû à « l’effet de serre » du dioxyde carbone n’est pas d’une clarté aussi aveuglante que ce qui nous est répété « ad nauseam » par l’ensemble de la classe politique « bien-pensante » relayée par presque tous les médias. J’ai fait quelques recherches sur le sujet, pour savoir notamment quand cela avait commencé et j’ai découvert, non sans une certaine stupéfaction, que son origine pouvait se trouver dans le « rapport sur la montagne de fer3 » auquel Hongbing Song, auteur du livre « la guerre des monnaies » faisait allusion.
Sans rentrer dans les détails, ce rapport devait répondre à une question soulevée par la Maison Blanche peu de temps après l’épisode des fusées de Cuba et qui peut se résumer à : comment perpétuer les avantages d’un état de guerre lorsque la paix risque de menacer le monde ?

Une des réponses envisagées était basée sur la menace de la pollution de l’environnement. Je cite le passage du livre de Hongbing Song : « En redoublant d’efforts de propagande sur les méfaits de la pollution, on pourrait atteindre un effet psychologique aussi effroyable que la fin du monde après la guerre nucléaire » Alors, hasard ou pas, en septembre 1987, à Denver, dans le Colorado, se tint la 4ème réunion du « World Wilderness Congress » (Congrès Mondial de la Vie Sauvage). 2000 participants représentant une soixantaine de pays y assistaient. Environ 1500 d’entre eux furent assez surpris de recevoir un document intitulé : « Déclaration de Denver pour la préservation de la vie mondiale »qui préconisait la création de la « World Conservation Bank ». La différence par rapport aux trois premières réunions fut la présence de nombreux banquiers. Cette réunion fut dirigée par Edmond de Rothschild et David Rockefeller.

En 1991, la WCB prit le nom de GEF (Global Environment Facility) qui rappelait moins l’emprise du milieu financier sur l’institution.

Une fois la machine en place, il fallait lui donner « du grain à moudre » C’est à ce moment que le fameux « dioxyde de carbone » a fait son entrée en scène. (J’allais dire « sur le marché » mais n’anticipons pas)

Pourquoi le carbone ? A cause de l’effet de serre, nous disent les gens du GIEC. Or, il y a de nombreux autres gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone ne représente qu’environ le quart de cet effet contre près de la moitié pour la seule vapeur d’eau. L’explication vient probablement de la couleur noire du charbon, qui est plus « parlante » au niveau de la pollution.

Et puis, on ne touche pas (ou du moins pas encore) à l’eau. Et en particulier à l’eau douce. On apprend très vite en économie qu’il existe deux ressources gratuites et inaliénables : l’eau et l’air. Pour ma part, j’en ajouterais une troisième, qui est la monnaie, mais c’est un autre débat.

Enfin, la combustion des hydrocarbures utilisés comme carburant de tous les véhicules motorisés rejette dans l’atmosphère du dioxyde de carbone. Cette constatation n’était pas exempte d’arrière-pensée concernant les mouvements écologistes naissants, dont les rangs étaient surtout constitués par des anciens gauchistes ou communistes opposés par principe aux grandes multinationales pétrolières.
Ceci étant posé, il restait à trouver ou inventer une autorité afin d’asseoir sur des bases scientifiques incontestables cette théorie du réchauffement climatique dû au rejet du dioxyde de carbone. Ce rôle a été dévolu au GIEC, créé en octobre 1988, soit un an après la réunion de Denver. Ce groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a pour but officiel « d’évaluer les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique pour comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine »
Vous remarquerez qu’il n’est pas question de savoir si ce type de réchauffement existe ou non. Sa réalité est admise dès le départ. Que voilà une curieuse démarche. On proclame l’existence de ce risque avant même d’avoir mis élaboré une véritable théorie scientifique qui aurait, au moyen d’observations et de constatations irréfutables et démontrées, pu valider le résultat.
Car les arguments qui permettent de mettre en doute cette théorie ne manquent pas. Les travaux de Vincent Courtillot et de nombreux autres semblent suffisamment convaincants pour au moins soulever la question. Mais là n’est pas mon propos. Ce qui m’intéresse est de savoir quel est le but réellement poursuivi par ceux qui sont à l’origine de la démarche. Alors, je vous entends déjà dire « encore le complot ! » Peut-être.
La démarche, après tout, est loin d’être stupide. Travailler à la mise en œuvre de moyens de production d’énergie qui ne pollueraient pas notre planète est en soi parfaitement respectable.
Car cette pollution est incontestable. Qu’elle vienne du charbon, du pétrole ou du nucléaire, nier ce fait serait irresponsable. Chercher à domestiquer d’autres sources d’énergie ne peut être que profitable à la planète et ses occupants. Mais est-ce le seul objectif ?
Je ne le pense pas. J’ai le sentiment que tout ceci n’est que le paravent d’une démarche beaucoup plus « sournoise » qui consisterait à financiariser à terme des ressources qui sont vitales. Je veux parler de l’eau et de l’air. Car, si on y réfléchit, la seule retombée « palpable » (dans tous les sens du terme) c’est la taxe carbone. Son principe est de faire payer le pollueur à hauteur de sa contribution à la pollution. En quoi cela va-t-il réduire la pollution ? Nous payons une taxe carbone sur le carburant que nous mettons dans notre voiture depuis le 1er janvier de cette année. La pollution, qui est proportionnelle à notre consommation (d’après le calcul) a-t-elle diminuée ? Les compagnies aériennes qui payent cette taxe, et outre le fait qu’elle peut introduire  une « distorsion de concurrence », ont-elles diminué la consommation de leurs appareils ? La réponse est non.
La taxe carbone est née lors du fameux « protocole de Kyoto » en 1997. Le but affiché était louable : inciter les entreprises à moins polluer. Jusque-là, tout va bien. Les choses commencent à se compliquer avec l’instauration des « quotas » vite appelés « droits à polluer ». Pour soi-disant rendre le procédé plus efficace, la bourse du carbone est créée en 2005. Qui dit bourse dit échange. Cela a donc permis aux entreprises qui polluaient moins de revendre une partie de leurs quotas à celles qui polluaient plus. On est loin du but initial.
Cette transition, pour ne pas dire cette dérive généralisée, d’actions entreprises dans le souci de préserver l’avenir en apparence mais qui, en définitive, se traduisent par des prélèvements supplémentaires dans la poche d’un public qui se trouve ainsi berné, devient insupportable.
Souvenez-vous de l’écotaxe. Sa mise en place bénéficiait essentiellement à ceux qui en avaient la gestion. Et en creusant un peu, on passait à Ecomouve, puis d’Ecomouve à Goldman Sachs4. Cette taxe devait rapporter à elle-seule 300 millions d’euros par an à ceux qui la percevait pour le compte du fisc. A ce stade, le terme d’arnaque mérite d’être prononcé… Et c’est chaque fois un scénario analogue, souvent dénoncé mais jamais remis en question. Peut-être serait-il temps de remettre tout à plat afin de repartir sur des bases saines.
La grande réunion prévue à Paris à la fin de l’année pourrait servir de cadre à cette opportunité, même si, aujourd’hui, un certain nombre de raisons peuvent laisser penser qu’il n’en sera rien et qu’au contraire, on continuera dans le mensonge d’une théorie fausse dont l’objet unique est d’enrichir le petit nombre de gens qui contrôlent la totalité du système et qui s’appuie sur les peurs du futur qu’il contribue à créer pour demander à chaque fois un peu plus.
Si nous continuons dans cette voie, le jour arrivera où nous devrons payer pour respirer l’air de notre planète.
1 La molécule de gaz carbonique ou dioxyde de carbone à la propriété de réémettre une partie du rayonnement infra-rouge qu’elle absorbe. Dans une serre en verre, le rayonnement émis par l’intérieur de la serre est partiellement réfléchi, ce qui fait que la serre garde une partie de la chaleur. En raison de cette propriété, le dioxyde de carbone est un gaz dit « à effet de serre ».De là à dire que ce gaz est la cause unique du réchauffement climatique, à l’exclusion de toutes les autres, il y a, a mon avis, un cap infranchissable.
2 Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts en Evolution du Climat) n’est pas un organisme réellement indépendant. Ces experts se sont faits les défenseurs de la théorie du réchauffement climatique ayant pour unique cause l’activité humaine à la surface de la planète
Pourtant, la source principale de l’énergie captée par la planète est de loin de Soleil, dont on pourrait croire le rôle largement prépondérant en ce qui concerne le climat de la planète. C’est d’ailleurs ce qui m’a rendu cette théorie suspecte au départ, ne comprenant pas comment un phénomène marginal pouvait avoir des effets prépondérants.
3 Ce rapport a été traduit en français par Jean Bloch Michel et publié par Calmann-Lévy sous le titre : « La paix indésirable ? » La guerre des monnaies est publiée par les éditions « le retour aux sources »
Et a été traduite en français par Haibing Liu et Lucien Cerise
4 Voir l’article : http://www.bastamag.net/Les-dessous-de-l-ecotaxe-quand
Jean Goychman
(fin du copié/collé)
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* suite et conclusion de mon  Editorial :

Je ne consultais plus le site de Gilbert Colard depuis qu'il s'était retourné contre Jean-Marie Le Pen, mais comme je vois qu'il revient à des publications politiquement sérieuses sur des questions d'actualités qui ne peuvent rester sans réponses  ou opinions manifestées clairement de la part de l'opposition, je vais de nouveau consulter son site périodiquement, s'il se tient dans cette ligne sérieuse je ne manquerai pas de tenir mes lecteurs au courant, mais s'il recommence à pétarader contre Jean-Marie Le Pen eh bien je le mettrai de nouveau à l'index pendant un certain temps.

@signé : Lucienne Magalie Pons


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