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04 octobre 2015

Bachar al-Assad : Aucun responsable étranger n’a le droit de déterminer l’avenir de la Syrie ou son régime politique - 04/10/2015 -

Éditorial de lucienne magalie pons

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Nous nous sommes référés à l'article publié par le site SANA,  l'Agence Arabe Syrienne d'informations pour résumer les réponses que le Président Syrien Bachar al-Assad a donné  dans une interview avec la chaîne iranienne Khabar, diffusée aujourd’hui.


Pour  répondre aux questions qui lui ont été posées, le président Bachar al-Assad a affirmé qu’aucun responsable étranger n’a le droit de déterminer l’avenir ou le régime politique de la Syrie,  en assurant que cette décision concerne uniquement le peuple syrien.


 «Toutes les déclarations des responsables occidentaux ne nous concernent pas car nous n’avons pas confiance en leurs positions», a-t-il ajouté, en précisant que les responsables occidentaux, qui sont dépourvus de la clairvoyance, vivaient dans un état brumeux et ressentaient l’échec vu que leurs plans n’avaient pas abouti et que  le terrorisme avait commencé à se déplacer à leurs pays.

Le président al-Assad a critiqué les pays occidentaux, qui ont un seul Maître, à savoir les Etats-Unis, et attaquent la Syrie à chaque fois qu’ils le demandent et expliqué que  l’Occident veut affaiblir le pays, changer l’État et créer un ensemble faible occupé de ses différends et divergences sans avoir le temps pour réaliser son  développement ou soutenir les causes nationales, dont celle palestinienne. 

Passant au terrorisme, dit  islamique, le président al-Assad a souligné que les groupes ou réseaux terroristes n’avaient rien à voir avec l’Islam, mais qu’ ils diffusent la sédition confessionnelle dans la société, toutes catégories confondues, pour effriter les sociétés de la région.

Quand à la  possibilité de s’asseoir autour d’une seule table avec les terroristes, le président al-Assad a insisté sur le fait que l’État ne dialogue pas avec les terroristes car ceux-ci doivent être traduits en justice pour leur demander des comptes, mais il peut engager un dialogue avec eux dans un seul cas, à savoir si l’objectif du dialogue est de déposer l’arme et retourner dans le giron de la Patrie.

 * note : L'article que nous avons pris pour référence développe les différents points résumés ci-dessus et vous le retrouvez en intégralité  en revue de presse en cliquant sur le lien actif  qui figure en Revue de Presse.

REVUE DE PRESSE  : 

Le président al-Assad à Khabar : Aucun responsable ...

sana.sy/fr/?p=46265
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