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07 janvier 2016

COLOGNE : les témoignages accablants des victimes dénoncent clairement les auteurs des agressions sexuelles de la nuit de la Saint-Sylvestre

Éditorial de lucienne magalie pons

Rappelons que dans  la nuit du 31 décembre au 1er janvier, des agressions sexuelles en masse ont eu lieu à Cologne parmi la foule rassemblée devant la gare centrale et sur le parvis de la cathédrale pour admirer les feux d'artifices et qu'à la suite les autorités allemandes et les médias nationaux ont tout fait pour masquer l'implication des migrants dans ces agressions.

Le 1er janvier, soit le lendemain des événements, la police de Cologne avait  publié un communiqué faisant état d'une nuit sans incidents notables. 

Elle n'  a commencé à donner de premiers éléments que  dans la journée du lundi à mesure que s'accumulaient les plaintes des victimes, avant que l'affaire ne prenne  de l'  ampleur mardi en Allemagne. 

Mais depuis  la vérité peu à peu se fait jour  en Allemagne à travers des témoignages et provoque un malaise  dans ce pays, qui a accueilli  à bras ouvert plus d'un millions de migrants en 2015  en se flattant de recevoir des réfugiés qui selon les autorités allemandes devaient "apporter une richesse culturelle" dans les pays d'accueil,  et on ne peut peu plus cacher que ce sont en effet des migrants qui  se sont livrés à des actes d'agressions criminelles et sexuelles à Cologne la nuit du  jour de l'An à Cologne notamment  dans et aux abords de la gare et de la Cathédrale et de l'Hôtel Exelcior .

Tout d'abord  a été fait pour masquer  ces événements  par les autorités et les médias nationaux   , le 1er janvier, soit le lendemain des événements, la police de Cologne avait  publié un communiqué faisant état d'une nuit sans incidents notables. 

Elle n'  a commencé à donner de premiers éléments que  dans la journée du lundi à mesure que s'accumulaient les plaintes des victimes, avant que l'affaire ne prenne toute son ampleur mardi en Allemagne. 

Wolfgang Albers  le Chef de la polilice de Cologne avait déclaré mardi à la presse " au total, 90 plaintes ont été déposées"  et" je pars du principe que d'autres devraient suivre».

Ces agressions  étaient attribuées à " des groupes de 20 à 30 jeunes hommes ivres qui ont encerclé leurs victimes en profitant de la foule rassemblée autour de la cathédrale et de la gare centrale de Cologne." soulignaient les médias.

Les autorités et les médias ont tenté de masquer  l'ampleur des faits  et les agressions  criminelles sexuelles perpétrées à grandes échelles  par les migrants, en parlant de "délinquants", et  en mettant en garde contre "l'amalgame" ...........

Ce n'est que le 5 janvier soit plus de 5 jours  qu'en raison   de l'accumulation de plus d'une centaine de  plaintes de victimes féminines,  que les autorité  ont commencé à s'exprimer; la maire de Cologne, Henriette Reker,  a  culpabilisé les femmes allemandes en les appelant  à  garder leurs distances et de rester groupées., comme si ces femmes étaient les premières responsables  de provocations , plûtot que de blâmer et de nommer leurs sauvages agresseurs bien au contraire elle affirmait : "«Nous n'avons aucun indice montrant qu'il puisse s'agir de réfugiés séjournant à Cologne» ou dans les environs"  jugeant ce rapprochement «inadmissible» à la suite d'une réunion de crise dans la mairie.

 Heiko Maas, le ministre de la justice Alleman (SPD) a indiqué  Mercredi 6  janvier  sur la chaîne télévisée ZDF  "Le tout semble avoir été coordonné", pour ce ministre il est peu probable que ces événements se soient produits par hasard, il a insisté sur une forte émotion en Allemagne en raison de la «dimension nouvelle» de ces actes impliquant «plus de mille personnes» ayant commis les agressions ou protégé leurs auteurs, mais pour autant il  s'est bien gardé d'identifier les auteurs de ces actes. 

Le ministre de la Justice allemand, Heik Maas (SPD)  déplace la question en parlant d'une "dimension totalement nouvelle de la criminalité organisée",  comme s'il s'agissait de l'émergence  d'un nouvel aspect de la criminalité dans la société allemande.

L' hebdomadaire Der Spiegel indique que " cinq personnes " entre 18 et 24 ans,  ont été arrêtées sur les lieux du drame et qu'elles  ne sont pas connues des forces de police.

 La police quand à elle avait  annoncé mercredi avoir "trois suspects " dans son viseur, sans donner plus d'informations.

Par ailleurs, la maire de Cologne, Henriette Reker, avait la veille mardi 5 janvier   culpabilisé les femmes allemandes en les appelant  à  garder leurs distances et de rester groupées., comme si ces femmes étaient les premières responsables à accuser de provocations , plûtot que de blâmer et de nommer leurs sauvages agresseurs bien au contraire elle affirmait : "«Nous n'avons aucun indice montrant qu'il puisse s'agir de réfugiés séjournant à Cologne» ou dans les environs"  jugeant ce rapprochement «inadmissible» à la suite d'une réunion de crise dans la mairie.

Mais le 1er janvier, soit le lendemain des événements, la police de Cologne a publié un communiqué faisant état d'une nuit sans incidents notables. Elle a commencé à donner de premiers éléments dans la journée du lundi à mesure que s'accumulaient les plaintes des victimes, avant que l'affaire ne prenne toute son ampleur mardi en Allemagne. 

.La chancelière Angela Merkel  de son côté avait téléphoné mardi après midi  à la maire de Cologne Henriette Reker et lui a fait part de «son indignation"  face à ces actes de violence insupportables et à ces agressions sexuelles».

Plusieurs personnalités politiques se sont employées aussi à faire part de leur crainte de voir apparaître "des amalgames"  islamophobe,  dont on accuse volontiers habituellement  le mouvement anti-islam Pegida et le petit parti d'extrême droite AfD.

De son côté le Ministre de l'intérieur  Allemand Thomas de Maizière a indiqué  mercredi   que la police "en se basant sur des témoignage" estime que les suspects " seraient  des hommes d'apparence nord-africaine",   mais en évitant de confirmer lui-même cette information , et  à la suite différents médias allemands   soulignaient   "peu de détails sont connus sur l'identité des assaillants " en ajoutant  :  "il n'est pas avéré qu'il s'agisse de demandeurs d'asile, soulignent différents médias allemands.


Tant de sollicitude et de concertation  des autorités  des médias nationaux envers les migrants pour masquer qu'ils étaient  les  auteurs des actes d'agressions,  n'a pas empêché que  des témoignages  se fassent entendre  désignant  clairement les migrants comme les  agresseurs , en premier lieu nous citons le témoignage de Ivan Jurcevic, comme vous le verrez il est très significatif, et après la vidéo, nous résumerons quelques témoignages des victimes et des témoins qui se trouvaient sur les lieux : 





Référence de la vidéo : Youtube.fr

commentaires figurant sous la vidéo Youyube.fr
Ajoutée le 6 janv. 2016
Ivan Jurcevic est un professionnel des rings de sports de combat, devenu acteur et metteur en scène dans des films allemands d’action. Depuis 1989, il est aussi chaque année « videur » à l’entrée de l’Hôtel Excelsior de Cologne le soir du réveillon de Nouvel An. Il était bien placé pour voir le calvaire qu’ont vécu de nombreuses femmes ce soir-là.

Dans une vidéo postée sur son compte Facebook, il raconte que des femmes venaient le supplier de les laisser entrer dans l’hôtel car elles étaient pourchassées par des immigrés qui voulaient les violer.
ivan Jurcevic décrit la nuit d’horreur. Des immigrés crachaient sur les clients de l’hôtel, les frappaient. Ils ont attrapé des gens, les ont tabassés et piétinés. Les policiers étaient en nombre insuffisant pour mettre fin à ces horreurs. Des groupes d’immigrés tiraient avec des fusées en direction des gens, des policiers, des voitures de police, de la cathédrale aussi.

Ivan Jurcevic dit mot pour mot: « Je croyais que c ‘était de la propagande d extrême droite, de Pegida, mais non! C’ était bien réel ! » Il ajoute « Lors du carnaval de Cologne, ça va exploser! »

Ivan Jurcevic a par la suite donné des interviews à la presse sur ce qu’il avait vu.

« Beaucoup sont arrivés sur place en début de soirée avec des bouteilles de bière et d’alcool à la main. La plupart d’entre eux étaient déjà ivres. »

Les clients de l’hôtel qui fument à l’extérieur de l’entrée sont accostés. Ils voulaient s’emparer des femmes.

Il voit des femmes fuir vers lui et le supplier de les aider. Leurs poursuivants suivent et menacent l’entraîneur d’arts martiaux bien connu. «Je fais 1m98 et je pèse 130 kilos. Il ne faut pas me chercher.», dit-il.
Il frappe l’un des assaillants et se retire dans l’entrée de l’hôtel. D’ autres immigrés lui promettent de le tuer.

De l’intérieur, Ivan et les clients de l’hôtel assistent incrédules à des scènes d’une violence inouïe. Des agressions sexuelles, des bagarres au couteau, des gens tabassés…

Autres témoignages :

Selon les premiers témoignages, environ un millier d'hommes, qui "d'après leur apparence physique seraient originaires des pays arabes ou d'Afrique du Nord", ont attaqué en groupe des dizaines de femmes.

Les médias qui ont recueilli quelques témoignages ,  qui pour des raisons d'ordre privé sont restés anonymes,  rapportent qu'ils "en ont profité pour toucher leurs poitrines et leurs parties génitales ou leur voler leurs smartphones, portefeuilles et autres objets de valeur, 

Les prénoms ou noms cités ci-dessous dans les témoignages ont été changés, nous n'en citons que 2 mais dans la Revue de presse qui suit plus bas vous trouverez d'autres témoignages  dans les articles et les vidéos.

 Avec une amie âgée de 22 ans, Maria était présente à Cologne la nuit du Réveillon, elle a témoigné : 
 "C'était le chaos dans le métro" ....."Nous avons commencé par regarder le feu d'artifice depuis le Hohenzollernbrug. Ensuite, nous avons pris le métro pour faire la fête ailleurs. Mais c'était déjà le chaos dans le métro. Il était envahi par des étrangers. Ils ont commencé par nous peloter directement. Leurs mains allaient vraiment partout. J'ai senti un doigt dans chaque orifice de mon corps. J'ai crié au secours et ils se moquaient de moi. Soudain, ils ont enlevé ma veste et essayé de me voler mon smartphone. Mais je n'ai rien lâché. Ils ont fini par me dérober mon rouge à lèvres."

Le témoignage  de Linda est terrifiant écrivent les médias en rapportant  "Ils ont retiré la culotte d'entre elles" ......"À la gare, plusieurs hommes rassemblés en groupes agressaient sexuellement des femmes. Beaucoup d'entre elles tombaient au sol et elles étaient traînées par les jambes. J'ai même vu comment ils sont parvenus à retirer la culotte de l'une d'entre elles. Je n'ai pas vite peur mais j'ai quand même quitté la gare en panique", raconte Linda.

 REVUE DE PRESSE : 


D'autres témoignages figurent aussi dans cet article  que nous plaçons en tête de notre Revue de Presse et dont lien et qui contient aussi une vidéo avec d'autres témoignages :


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