Les informations contenues dans l'article ci-dessous de source Dreuze.info dénoncent la presse allemande qui " a publié à contre cœur et discrètement que les agresseurs sont des réfugiés récemment arrivés. Puis, quand l’affaire a pris de l’ampleur et que plusieurs villes ont été touchées par le nouveau fléau, les médias ont tenté de minimiser. Et quand ce fut impossible, ils ont commencé à affirmer « qu’on ne sait pas exactement qui sont les prédateurs » – en déni total de la réalité, car 7 des personnes arrêtées par la police depuis les incidents sont des réfugiés – c’est la phase actuelle." ...
De plus en lisant leur article nous apprenons aussi que ce n'est pas seulement la ville de Cologne qui a subi ces vagues d'agressions le soir du Jour de l'An , mais aussi d'autres villes allemandes comme Hambourg et Stuggart dans lesquelles comme à Cologne des meutes d'hommes d'origine arabe et africaine ont pour chassé et harcelés sexuellement,volé et violé des jeunes femmes.
Nous ne pouvons pas laisser passer sous silence ces incidents très graves survenus en Allemagne dans un de nos pays frontaliers, d'autant que nos médias français ne s'étendent pas trop sur ces affaires se contentant de les relater de façon plutôt neutre sans s'élever contre le silence des médias allemands.
C'est pourquoi puisque le site DREUZ.Info autorise la reproduction de son article sous réserve de faire paraître la mention "Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.", nous avons décidé de le reproduire ci-dessous :
( note : sur le site l'article contient des photos )
* Ci-dessous Reproduction de l'article de DREUZ.INFO :
" Habituez-vous à la nouvelle Europe : en Allemagne, des femmes « chassées comme du gibier » par des migrants et réfugiés"
Cologne, Hambourg, Stuttgart… la police et les
Allemands inquiets après une nouvelle série d’agressions sexuelles le soir du
réveillon du nouvel An dans plusieurs villes allemandes, toutes sur le même
modèle : des meutes d’hommes d’origine arabe et africaine pourchassent,
harcèlent sexuellement, volent, violent des jeunes femmes.
Mise à
jour le 7 janvier à 06:15 : nous apprenons de nos contacts en Allemagne que dans
un premier temps, la presse allemande, qui est de gauche comme partout, a
publié à contre cœur et discrètement que les agresseurs sexuels sont des
réfugiés récemment arrivés. Puis, quand l’affaire a pris de l’ampleur et que
plusieurs villes ont été touchées par le nouveau fléau, les médias ont tenté de
minimiser. Et quand ce fut impossible, ils ont commencé à affirmer « qu’on
ne sait pas exactement qui sont les prédateurs » – en déni total de la
réalité, car 7 des personnes arrêtées par la police
depuis les incidents sont des réfugiés – c’est
la phase actuelle.
L’Allemagne
découvre avec effarement les bienfaits d’une population réfugiée musulmane
misogyne, homophobe, et éduquée dans l’idée qu’une femme doit être soumise aux
désirs des hommes.
L’Allemagne
qui accélère son suicide (son très faible taux de natalité a déjà signé sa
volonté de disparaitre) a accueilli les bras ouverts une population de réfugiés
mâles arrivés sans femmes – et nous avions annoncé que cela ne pouvait pas ne
pas poser des problèmes de viols, car ces hommes ont besoin de satisfaire leurs
besoins sexuels, et si dans leurs pays ils sont freinés par les burqas,
ils ne sont pas habitués aux mini-jupes et tenues occidentales qu’ils
considèrent comme une invite.
L’Allemagne
peut toujours feindre de se plaindre de la situation explosive, mais quand on
est con on est con, et ça se paye. Et il faut vraiment être sacrément con pour
ne pas avoir vu venir ce qui arrive. Con ou politiquement correct, cela revient
au même rejet du bon sens.
Donc.
Pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, plusieurs dizaines de femmes ont
été agressées sexuellement par des groupes composés de centaines d’hommes
musulmans, dans plusieurs grandes villes, rapporte la police et quelques médias.
A Cologne, le chef de la police, Wolfgang Albers a
déclaré au Süddeutsche Zeitung que « l’ampleur des crimes sexuels a atteint une
dimension jamais atteinte »,
laissant au lecteur le soin d’imaginer cette nouvelle dimension…
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Albers
confirme au quotidien allemand – et c’est bienvenu car la plupart des
journalistes travaillent dur pour enterrer la réalité contraire à leur
idéologie xénophile, que les agresseurs étaient nord-africains et arabes, selon
les victimes et les témoins.
Quelques
rares médias (en Allemagne, tous les médias ne sont pas en état avancé de
décomposition morale comme en France) affirment que de « meutes
d’hommes » s’en sont pris à des femmes, parfois très jeunes.
A Cologne, elles
ont été dérobées de leurs téléphones, argent et effets personnels, violées,
agressées, harcelées, principalement près de la gare principale de Cologne.
Près
de la gare centrale et de la place de la Cathédrale, 400 à 500 hommes
jeunes d’origine nord africaine, tunisiens, marocains et algériens dans la
vingtaine selon la police, ont commencé à faire éclater des pétards dans la
foule…
Pour
l’instant, nous avons reçu 60 plaintes, dont deux tiers concernent des
agressions sexuelles, a déclaré la police, qui suspecte qu’un plus grand
nombre va suivre : « les agressions sont d’une toute nouvelle
envergure », a déclaré le chef de la police de Cologne Wolfgang
Albers.
Environ 15
jeunes femmes ont déclaré avoir été sexuellement agressées, et il y a même eu
un cas de « viol par plusieurs hommes » a déclaré Albers.
Une volontaire de la police se trouve même parmi
les femmes qui ont été sexuellement agressées, rapporte The Guardian.
Des
groupes d’hommes de 15 à 35 ans se sont regroupés pour voler et
harceler des jeunes femmes. Ils se sont livrés à des attouchements, a précisé
Albers, au point que le maire de Cologne a immédiatement réuni une
cellule de crise.
143 officiers de police furent envoyés à la
gare centrale pour donner renfort aux 70 policiers fédéraux déjà
sur place. Selon le commissaire de police Wolfgang Wurm, les victimes et
les témoins ont tous déclaré que la plupart des agresseurs « semblaient venir d’Afrique du nord
et avaient l’apparence arabe ».
Le maire de Cologne, Henriette Reker a d’abord
décrit les évènements comme « outrageants ». Mais plus tard,
lors d’une conférence de presse, elle a
accusé les jeunes femmes agressées d’être
responsables de leur sort en raison de leur comportement, qui devrait être
adapté à la présence et à la culture de ces nouveaux venus en restant à
distance des agresseurs. Elle a mis en cause les tenues vestimentaires
féminines, qui provoquent l’appétit sexuel de ces étrangers venant de pays
musulmans, tout cela pour ne pas avoir à désigner les vrais coupables
et rester politiquement correcte.
A Hambourg, Bild parle de « chasse aux jeunes femmes comme du gibier» par des hordes musulmanes sauvages, dans la
Reeperbahn, la rue animée de Hambourg.
Plusieurs groupes d’environ 5 à 15 hommes se
sont littéralement engagés dans « une chasse aux
jeunes femmes comme on chasse du gibier ».
Le
premier incident s’est produit vers minuit dans Hans-Albers-Platz
et Grosse Freiheit. Selon des témoins, la plupart des agresseurs étaient
des jeunes étrangers probablement nord africains qui se sont mis en bandes
pour harceler des jeunes femmes, d’abord verbalement en les traitant
de « salopes », « vicieuses », « putes ».
Puis les proies étaient entourées, puis violentées et volées. Les hommes
se sont livrés à des attouchements, attrapant la poitrine et le sexe de
leurs proies.
Les téléphones des jeunes femmes portables furent
volés, rapporte le porte parole de la police Holger Vehren: « pour l’instant, sur les 6 plaintes que nous
avons enregistré, les victimes ont entre 18 et 24 ans… » mais il semble qu’il y ait beaucoup, beaucoup plus de
victimes.
Beaucoup
sortaient de clubs ou de pubs, et ont commencé à paniquer puis à éclater en
sanglot, et de honte, n’ont pas alerté la police.
Denise, 17 ans (le prénom a été changé)
déclare : « Deux amies à moi ont été attaquées.
Des filles étaient pourchassées comme on chasse des animaux. Qu’une chose
pareille soit possible à Hambourg me rend malade. Maintenant on a
peur de faire la fête dans le quartier. «
D’autres
jeunes femmes, sur les réseaux sociaux, avouent avoir été attouchées sous
leurs jupes, et si elles résistaient, les agresseurs leurs immobilisaient
les poignets.
La
police a ouvert une enquête pour harcèlement sexuel, vol et agression.
Puis
les meutes se rendirent dans les rues de Reeperbahn et
continuèrent leurs actes de barbarie, qui ressemblent, est-ce une
coïncidence, aux récits de razzias et de conquêtes de l’islam contre les
peuples dont les terres, les richesses étaient convoitées.
La
police a fait un appel à témoins qui sont priés d’appeler le 040/4 28
65 67 89.
A Stuttgart, deux
jeunes filles ont été sexuellement violentées par un groupe d’hommes, puis
volées et frappées, témoigne le magazine Focus citant la
police municipale.
Deux
jeunes filles de 18 ans marchaient dans Schlossplatz vers
23h30 quand elles furent soudainement encerclées par environ 15
hommes qui les empêchèrent de s’enfuir. Ils se sont alors livrés à
des attouchements, et leur ont dérobé leurs smartphones et leurs sacs.
Elles doivent de ne pas avoir été violées à la présence de passants qui leur
ont permis de partir en courant.
Dans un communiqué, la police a lancé cet appel à
témoin pour retrouver les perpétrateurs : « il s’agit d’Arabes de type nord africains
aux cheveux noirs, agés d’environ 30 à 40 ans. Les gens qui sont
venus en aide des jeunes femmes, et les autres témoins de l’incident sont priés
de se faire connaitre auprès des autorités du département d’enquêtes
criminelles aux numéros suivants : 8990/5778. »
“nous avons compris que tout
ceci a été planifié”
Arnold Plickert, président d’un syndicat
policier de NRW (Nord Rhin Westphalie), a déclaré au Deutsche Presse Agentur que les agressions étaient “d’un genre nouveau … et ce que nous avons
compris, c’est que tout ceci a été planifié.”
Mais rassurez-vous, devant l’évidence, il se
trouve aussi en Allemagne de nombreux journalistes complices et franchement
abjectes qui affirment « qu’il n’existe aucune preuve pour
le moment que les réfugiées soient les auteurs de cette nouvelle
violence ». Ces mêmes journalistes
sont les premiers à condamner l’extrême droite sans s’embarrasser de la moindre
preuve ni précaution, lorsque l’occasion se présente. Ainsi, ils
accusèrent les sympathisants de Pegida d’être des néo-nazis et des extrémistes
de droite, ce qu’une étude universitaire sérieuse montra être un mensonge –
sans qu’aucun média n’en tienne compte et ne revisite sa diabolisation du
mouvement.
Globalement,
la presse française est restée très discrète, car elle est très engagée dans la
propagande immigrationniste. Quand les possibilités de minimiser les actes
barbares commis par des immigrés ne sont pas nombreuses, alors ils
« oublient » d’en parler, ou leur trouvent des excuses :
désespoir comme pour les agressions contre les Israéliens, rejet social comme
les terroristes français, précarité pour les réfugiés et migrants en Allemagne,
et silence radio pour ceux de Calais, où la population semble vivre un drame
sans précédent, et est laissée à l’abandon pour ne pas déroger à la règle
politiquement correcte.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : ©
Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
fin de l'article
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